À un niveau politique, les grandes organisations internationales de protection de l’environnement étaient présentes comme d’habitude au sommet de Doha sur le changement climatique. Mais les actions sur le terrain ont été surtout entreprises par des groupes de jeunes, venus rappeler aux décideurs que le changement climatique risque d’affecter leurs générations à l’avenir. « Financez notre avenir », « Nous n’avons plus le temps » ou encore « Quel âge aurez-vous en 2050 ? », lisait-on sur les banderoles et les tee-shirts. La jeunesse arabe était également présente en force, organisant beaucoup d’activités, dont la plus remarquable a été la marche pour le climat, le 1er décembre.
Parmi ces activités, on peut citer notamment celle du « fossile du jour » (en référence aux énergies fossiles, dont les émanations sont principalement responsables du changement climatique), une sorte de « distinction » donnée chaque jour aux pays ayant le plus contribué au blocage des négociations. Les États-Unis, le Canada, la Pologne s’y sont retrouvés à différents moments. Le dernier jour, de sinistres trophées ont été remis au Canada (gagnant régulier de ce concours) à égalité avec la Nouvelle-Zélande, nouveau venu dans cette liste. Dans une mise en scène truffée d’humour, un bouffon a remis ces trophées à des militants de ces pays qui, en pleine autodérision, s’en sont « félicités ».
Parmi ces activités, on peut citer notamment celle du « fossile du jour » (en référence aux énergies fossiles, dont les émanations sont principalement responsables du changement climatique), une sorte de « distinction » donnée chaque jour aux pays ayant le plus contribué au blocage des négociations. Les États-Unis, le Canada, la Pologne s’y sont retrouvés à différents moments. Le dernier jour, de sinistres trophées ont été remis au Canada (gagnant régulier de ce concours) à égalité avec la Nouvelle-Zélande, nouveau venu dans cette liste. Dans une mise en scène truffée d’humour, un bouffon a remis ces trophées à des militants de ces pays qui, en pleine autodérision, s’en sont « félicités ».
À un niveau politique, les grandes organisations internationales de protection de l’environnement étaient présentes comme d’habitude au sommet de Doha sur le changement climatique. Mais les actions sur le terrain ont été surtout entreprises par des groupes de jeunes, venus rappeler aux décideurs que le changement climatique risque d’affecter leurs générations à l’avenir....
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