Des accrochages quasi quotidiens opposent dans des villages syriens frontaliers du Liban des combattants proches du Hezbollah à des rebelles anti-Assad. Les combats ont lieu dans des villages situés en Syrie mais habités par des Libanais, la frontière n’ayant pas de tracé clair et beaucoup de villages étant à cheval entre les deux pays.
« Nos villages sont attaqués par des rebelles qui veulent y pénétrer et nous nous défendons », a affirmé un habitant de Zeita. Selon lui, les combats se déroulent dans « une vingtaine de villages chiites dans la province de Homs qui comptent 30 000 habitants ». « Près de 5 000 hommes armés protègent nos villages, ils sont dans leur grande majorité proches du Hezbollah. Il y a eu 16 morts parmi ces combattants depuis le début du conflit. »
« Le Hezbollah transporte des armes et des munitions à travers la frontière dans des ambulances qui traversent jour et nuit en empruntant l’autoroute internationale, sans s’arrêter au poste-frontière », a affirmé de son côté Fahed al-Masri, directeur de la communication pour le commandement de l’Armée syrienne libre.
« Nos villages sont attaqués par des rebelles qui veulent y pénétrer et nous nous défendons », a affirmé un habitant de Zeita. Selon lui, les combats se déroulent dans « une vingtaine de villages chiites dans la province de Homs qui comptent 30 000 habitants ». « Près de 5 000 hommes armés protègent nos villages, ils sont dans leur grande majorité proches du Hezbollah. Il y a eu 16 morts parmi ces combattants depuis le début du conflit. »
« Le Hezbollah transporte des armes et des munitions à travers la frontière dans des ambulances qui traversent jour et nuit en empruntant l’autoroute internationale, sans s’arrêter au poste-frontière », a affirmé de son côté Fahed al-Masri, directeur de la communication pour le commandement de l’Armée syrienne libre.
Des accrochages quasi quotidiens opposent dans des villages syriens frontaliers du Liban des combattants proches du Hezbollah à des rebelles anti-Assad. Les combats ont lieu dans des villages situés en Syrie mais habités par des Libanais, la frontière n’ayant pas de tracé clair et beaucoup de villages étant à cheval entre les deux pays.« Nos villages sont attaqués par des rebelles qui...
Des bons rapports "fakîhdiot-baassyriens ou baassdiot-fakîhàRiens". Le pire est que les rituelles dénonciations de belles âmes émanant de ces autoproclamés "syro-réalistes" sont le plus souvent accompagnées d’hypocrites "hommages du vice à la vertu." ! Car, loin de se cantonner dans un cynisme qui aurait au moins le mérite d’être "honnête!" intellectuellement parlant, ces champions de la Pleutrerie dans leurs relations "baassdiot-anthracites, ne reconnaissent nullement avoir dissous leurs Pseudo "principes?" dans une simili-real politique. Ces "fakîhàRiens" indigènes vont même jusqu’à prétendre que leur "Couardise" est encore ce qu’il y a de plus malin pour améliorer le sort de "chïïtes!?" en sœur syrie ou en "papouasie" kifkif. Car c’est bien connu n’est-ce pas, "plus on flatte un bourreau, plus on l’amadoue !". Par conséquent, ils avalent profondément leurs couleuvres "anthracito-assadiques", tempèrent leurs exigences Pseudo-libanaises et se rendent complices par consentement mutuel de ces tortionnaires "rectificatifs" nusayrîsés, le tout pour le plus grand bien des suppliciés Syriens et Libanais ! Obligé. Et d’ailleurs, s’ils ne le faisaient pas, ces "chemises noires chiffonnées pâmés", d’autres s’empresseraient de le faire. Voyez leurs concurrents, "Déshérités", qui piaffent déjà les puinés ! Ils n’ont aucun scrupule ni aucune vergogne "cez- ébaubis". En tout cas pas plus qu’eux....
06 h 20, le 18 octobre 2012