« Nous sommes avec la revendication de liberté en Syrie, et nous sommes avec ceux qui sont en quête de cette liberté. Ceux qui étaient avec Sultan Bacha el-Atrache durant la grande révolution syrienne doivent faire ce choix aujourd’hui », a-t-il dit, mettant en garde contre « les faibles d’esprit qui veulent faire prévaloir leurs intérêts privés, partisans, partiels et personnels en plaçant les druzes de Syrie dans une posture qui est en porte-à-faux avec leur histoire ».
Prononçant par ailleurs une allocution dans le cadre du dîner annuel de la Jeunesse progressiste à Beiteddine, vendredi soir, Waël Abou Faour a affirmé que « notre printemps ne pourra avoir lieu qu’à travers l’union entre tous les partenaires » nationaux.
« Notre printemps ne réussira qu’en poursuivant ce que nous avons commencé le 14 mars 2005, à savoir la révolution pour la liberté, la souveraineté et l’indépendance », a-t-il dit.
Et d’ajouter que « les événements qui se sont déroulés à cette date ne sont pas passagers, mais découlent d’un choix exprimé par le peuple ». M. Abou Faour a par ailleurs souligné l’importance du rôle pionnier des jeunes dans le printemps arabe.