Le marché immobilier évolue dans un contexte particulièrement sombre ; la situation sécuritaire locale déraille une semaine sur deux et les événements en Syrie sont toujours aussi meurtriers. En parallèle, le secteur affiche des taux en berne : les permis de construction et le nombre de transactions sont en baisse depuis plusieurs mois et les invendus s’additionnent, etc. Avec un tel tableau, il ne fallait pas s’attendre à des miracles. L’été 2012 ne restera pas un grand cru.
Toutefois, il serait faux de croire que le marché est à l’arrêt. Il y a toujours des promoteurs qui commencent la commercialisation de nouveaux projets. Cet été, de grands complexes résidentiels ont été lancés dans les secteurs de la corniche du Fleuve, à l’ouest de Hamra et au sud d’Achrafié. La confiance des professionnels qui font fi de la situation à court terme contraste avec le marasme ambiant. Il est vrai que leurs projets ne seront pas terminés avant trois et quatre ans.
Dans l’immédiat, il est incontestable que l’appétit des familles pour l’acquisition d’un pied-à-terre et d’un appartement est affecté par les mauvaises nouvelles locales et régionales. La présence des expatriés cet été n’a pas permis de changer véritablement la donne. Si la demande existe, les délais de vente ne cessent de s’allonger. De nombreux promoteurs n’ont enregistré aucune vente depuis 2012. Pourtant, la gamme des produits proposée à Beyrouth (du studio de 90 m2 au 600 m2 sur le front de mer) ne cesse de se diversifier et cible tous les budgets. Mais le secteur est freiné par la stabilité des prix qui perdure. Rien ne presse ! Les gens prennent leur temps, hésitent puis repoussent à plus tard. Chacun se pose les mêmes questions : les prix vont-ils baisser et est-il opportun d’acheter maintenant ?
À ce jour, les prix demeurent globalement stables. Les hausses comme les baisses existent mais restent minoritaires. Les promoteurs vont naturellement montrer une inflexibilité de façade en gardant officiellement leurs tarifs. Toutefois, dans certains cas, il est facile d’obtenir une ristourne de 5 à 15 %. D’autres affichent immédiatement une remise avant même les négociations. Un moyen marketing d’encourager les ventes. Chacun essaie de trouver la parade pour relancer son activité bien qu’accorder des réductions trop rapidement peut conforter le sentiment que le marché vacille.
C’est sans doute une fausse impression. La stabilité des prix est encore trop récente pour qu’il y ait un effet domino dans l’immédiat. Il n’empêche que malgré les rumeurs, la période reste adéquate pour prendre son temps afin d’acquérir son appartement au prix voulu.
En coopération avec : RAMCO
Tél.: 01-349910
Toutefois, il serait faux de croire que le marché est à l’arrêt. Il y a toujours des promoteurs qui commencent la commercialisation de nouveaux projets. Cet été, de grands complexes résidentiels ont été lancés dans les secteurs de la corniche du Fleuve, à l’ouest de Hamra et au sud d’Achrafié. La confiance des professionnels qui font fi de la situation à court terme contraste avec le marasme ambiant. Il est vrai que leurs projets ne seront pas terminés avant trois et quatre ans.
Dans l’immédiat, il est incontestable que l’appétit des familles pour l’acquisition d’un pied-à-terre et d’un appartement est affecté par les mauvaises nouvelles locales et régionales. La présence des expatriés cet été n’a pas permis de changer véritablement la donne. Si la demande existe, les délais de vente ne cessent de s’allonger. De nombreux promoteurs n’ont enregistré aucune vente depuis 2012. Pourtant, la gamme des produits proposée à Beyrouth (du studio de 90 m2 au 600 m2 sur le front de mer) ne cesse de se diversifier et cible tous les budgets. Mais le secteur est freiné par la stabilité des prix qui perdure. Rien ne presse ! Les gens prennent leur temps, hésitent puis repoussent à plus tard. Chacun se pose les mêmes questions : les prix vont-ils baisser et est-il opportun d’acheter maintenant ?
À ce jour, les prix demeurent globalement stables. Les hausses comme les baisses existent mais restent minoritaires. Les promoteurs vont naturellement montrer une inflexibilité de façade en gardant officiellement leurs tarifs. Toutefois, dans certains cas, il est facile d’obtenir une ristourne de 5 à 15 %. D’autres affichent immédiatement une remise avant même les négociations. Un moyen marketing d’encourager les ventes. Chacun essaie de trouver la parade pour relancer son activité bien qu’accorder des réductions trop rapidement peut conforter le sentiment que le marché vacille.
C’est sans doute une fausse impression. La stabilité des prix est encore trop récente pour qu’il y ait un effet domino dans l’immédiat. Il n’empêche que malgré les rumeurs, la période reste adéquate pour prendre son temps afin d’acquérir son appartement au prix voulu.
En coopération avec : RAMCO
Tél.: 01-349910
Le marché immobilier évolue dans un contexte particulièrement sombre ; la situation sécuritaire locale déraille une semaine sur deux et les événements en Syrie sont toujours aussi meurtriers. En parallèle, le secteur affiche des taux en berne : les permis de construction et le nombre de transactions sont en baisse depuis plusieurs mois et les invendus s’additionnent, etc. Avec un tel tableau, il ne fallait pas s’attendre à des miracles. L’été 2012 ne restera pas un grand cru.Toutefois, il serait faux de croire que le marché est à l’arrêt. Il y a toujours des promoteurs qui commencent la commercialisation de nouveaux projets. Cet été, de grands complexes résidentiels ont été lancés dans les secteurs de la corniche du Fleuve, à l’ouest de Hamra et au sud d’Achrafié. La confiance des professionnels qui...
