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Économie

« L’entrepreneuriat n’est pas affecté par le régime confessionnel à condition qu’il soit tourné vers l’export »

Selon Walid Mansour, directeur exécutif du fonds de gestion d’investissements Middle East Venture Partners, « l’entrepreneuriat privé n’est pas affecté par la logique confessionnelle, dès lors que ce dernier se tourne vers l’export et se lance via un financement entièrement privé ». Le Liban n’arrivant pas à développer une économie locale, les talents se tournent vers l’étranger, entraînant ainsi une fuite de capitaux humains. « Il y a ceux qui quittent le pays pour aller travailler ailleurs, mais il y a aussi ceux qui décident de lancer une société basée au Liban mais destinée à d’autres marchés comme les pays arabes. Leur contribution économique n’est pas à négliger, estime Walid Mansour, en témoignent les success stories des franchises libanaises ou le boom des boîtes Internet. En revanche, dès qu’un entrepreneur doit se tourner vers l’État, que ce soit pour une licence ou une autre démarche, il se heurte à la logique de l’équilibre confessionnel » et à tous ses freins, conclut-il.
Selon Walid Mansour, directeur exécutif du fonds de gestion d’investissements Middle East Venture Partners, « l’entrepreneuriat privé n’est pas affecté par la logique confessionnelle, dès lors que ce dernier se tourne vers l’export et se lance via un financement entièrement privé ». Le Liban n’arrivant pas à développer une économie locale, les talents se tournent...

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