Dans une interview accordée à Radio Liban libre, M. Mahfoud a souligné que le directeur général des Forces de sécurité intérieure, le général Achraf Rifi, et le chef de la branche des renseignements des FSI, le colonel Wissam el-Hassan, ne se seraient pas lancés dans l’affaire Michel Samaha s’ils n’étaient pas en possession de preuves irréfutables et solides. « Le général Rifi n’aurait pas mis son avenir en jeu et le colonel Wissam el-Hassan ne se serait pas laissé entraîner dans un jeu mesquin qui aurait pu être facilement dévoilé, a souligné M. Mahfoud. S’ils n’étaient pas sûrs de toutes les preuves et de tous les documents en leur possession, ils ne se seraient pas engagés dans cette affaire. »
Liban
Mahfoud pour une action sur le terrain afin d’obtenir l’expulsion de l’ambassadeur syrien
OLJ / le 15 août 2012 à 01h33
Dans une interview accordée à Radio Liban libre, M. Mahfoud a souligné que le directeur général des Forces de sécurité intérieure, le général Achraf Rifi, et le chef de la branche des renseignements des FSI, le colonel Wissam el-Hassan, ne se seraient pas lancés dans l’affaire Michel Samaha s’ils n’étaient pas en possession de preuves irréfutables et solides. « Le général Rifi n’aurait pas mis son avenir en jeu et le colonel Wissam el-Hassan ne se serait pas laissé entraîner dans un jeu mesquin qui aurait pu être facilement dévoilé, a souligné M. Mahfoud. S’ils n’étaient pas sûrs de toutes les preuves et de tous les documents en leur possession, ils ne se seraient pas engagés dans cette affaire. »