Des combattants du Hezbollah. Photo d'archives.
Après avoir été accusée d'exportation de pièces d’armes vers le Liban, Mouna Diab, une Libano-canadienne de Laval, est aujourd'hui accusée de terrorisme pour liens présumés avec le Hezbollah, rapporte la presse canadienne.
Selon la Gendarmerie royale du Canada (GRC), la femme de 26 ans aurait "commis des infractions au profit du Hezbollah, sous sa direction, ou en association avec le parti chiite", inscrit sur la liste noire canadienne des organisations terroristes, précise Radio-Canada.
Mouna Diab avait été arrêtée en mai 2011 à un aéroport international de Montréal pour avoir tenté d'exporter dans ses bagages des pièces d'armes vers le Liban. Selon certaines allégations, elle aurait expédié les armes en pièces détachées par l’entremise de voyageurs de sa communauté. Ces derniers ignoraient le contenu des colis qu’ils transportaient pour le compte de Mouna Diab, selon la GRC.
Elle avait alors été accusée de contrebande illégale d'armes vers le Liban.
Une enquête plus approfondie a permis de révéler les liens présumés avec le Hezbollah, une nouvelle accusation pour laquelle Mouna Diab risque la prison à vie, précise la GRC.
Après avoir été accusée d'exportation de pièces d’armes vers le Liban, Mouna Diab, une Libano-canadienne de Laval, est aujourd'hui accusée de terrorisme pour liens présumés avec le Hezbollah, rapporte la presse canadienne.
Selon la Gendarmerie royale du Canada (GRC), la femme de 26 ans aurait "commis des infractions au profit du Hezbollah, sous sa direction, ou en association avec...