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À La Une - France

Une princesse saoudienne tente de quitter un palace parisien sans payer une note de 6 millions d'euros

Maha al-Sudaïni, épouse répudiée du prince héritier d'Arabie saoudite, Nayef ben Abdel Aziz, était accompagnée d'une soixantaine de personnes.

Une photo tirée du site de l'hôtel Shangri-La à Paris.

Une princesse saoudienne a été interceptée alors qu'elle tentait de quitter avec sa suite un palace parisien sans payer une note de près de 6 millions d'euros, dans la nuit de jeudi à vendredi, a-t-on appris samedi de source policière, confirmant une information du Parisien.

La police est intervenue dans le cadre d'une assistance à huissier, a-t-on indiqué de source policière.

La princesse saoudienne, Maha al-Sudaïni, épouse répudiée du prince héritier d'Arabie saoudite, Nayef ben Abdel Aziz, a tenté de quitter le Shangri-La, un palace situé avenue d'Iena dans le centre de Paris, en compagnie de sa suite d'une soixantaine de personnes, en laissant une ardoise de près de 6 millions d'euros, selon le journal Le Parisien.

Le quotidien ajoute que l'ambassadeur d'Arabie saoudite a été contacté lors du départ de la princesse, qui bénéficie de l'immunité diplomatique.

Contacté par l'AFP, le directeur de l'hôtel, Alain Borgers, a déclaré qu'il n'avait "aucun problème" avec ses clients et "aucune ardoise" à ce jour.

La princesse Maha al-Sudaïri avait déjà défrayé la chronique pour des impayés. En 2009, la chaîne vestimentaire Key Largo avait saisi la justice pour obtenir le règlement de 89.000 euros correspondant à des achats effectués à son nom.

Une princesse saoudienne a été interceptée alors qu'elle tentait de quitter avec sa suite un palace parisien sans payer une note de près de 6 millions d'euros, dans la nuit de jeudi à vendredi, a-t-on appris samedi de source policière, confirmant une information du Parisien.
La police est intervenue dans le cadre d'une assistance à huissier, a-t-on indiqué de source policière.
La...

commentaires (1)

La femme "répudiée" (et non pas "divorcée")... Ça donne quoi pour les juristes français, ça?

Gros Gnon

09 h 29, le 12 juillet 2019

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Commentaires (1)

  • La femme "répudiée" (et non pas "divorcée")... Ça donne quoi pour les juristes français, ça?

    Gros Gnon

    09 h 29, le 12 juillet 2019

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