La secrétaire d'Etat américaine Hillary Clinton s'est déclarée mercredi préoccupée par la poursuite des violences en Syrie malgré le déploiement des premiers observateurs envoyés par les Nations unies.
Mme Clinton a d'autre part indiqué que de "nouvelles mesures" seraient prises si "Assad gâchait la dernière chance" que représente l'application du plan présenté par l'envoyé spécial de l'ONU et de la Ligue Arabe Kofi Annan pour faire stopper les violences.
"Il est évidemment assez préoccupant" que "les armes d'Assad tirent de nouveau à Homs, Idleb et ailleurs" alors que les observateurs de l'ONU commencent à être déployés, a déclaré Mme Clinton au cours d'une conférence de presse à l'occasion d'une réunion ministérielle de l'Otan à Bruxelles.
Le cessez-le-feu en Syrie a été une nouvelle fois violé mercredi avec 14 morts, malgré l'engagement de Damas à appliquer la trêve et à collaborer avec les observateurs chargés de la surveiller.
"Nous sommes à un tournant décisif": ou la communauté internationale réusssit à "faire appliquer" le plan Annan ou "nous constatons qu'Assad gâche sa dernière chance et de nouvelles mesures devront être envisagées", a expliqué Mme Clinton.
La secrétaire d'Etat a évoqué l'éventualité de nouvelles sanctions mais a refusé de répondre à une question sur la possibilité d'armer les rebelles, comme l'ont demandé certains pays comme l'Arabie Saoudite et le Qatar.
Mme Clinton participera jeudi matin à une nouvelle session de discussions à l'Otan, avant de rejoindre Paris où quatorze ministres des Affaires étrangères devraient être présents à une réunion destinée à maintenir la pression sur la Syrie.
Mme Clinton a d'autre part indiqué que de "nouvelles mesures" seraient prises si "Assad gâchait la dernière chance" que représente l'application du plan présenté par l'envoyé spécial de l'ONU et de la Ligue Arabe Kofi Annan pour faire stopper les violences.
"Il est évidemment assez préoccupant" que "les armes d'Assad tirent de nouveau à Homs, Idleb et ailleurs" alors que les observateurs de l'ONU commencent à être déployés, a déclaré Mme Clinton au cours d'une conférence de presse à l'occasion d'une réunion ministérielle de l'Otan à Bruxelles.
Le cessez-le-feu en Syrie a été une nouvelle fois violé mercredi avec 14 morts, malgré l'engagement de Damas à appliquer la trêve et à collaborer avec les observateurs chargés de la surveiller.
"Nous sommes à un tournant décisif": ou la communauté internationale réusssit à "faire appliquer" le plan Annan ou "nous constatons qu'Assad gâche sa dernière chance et de nouvelles mesures devront être envisagées", a expliqué Mme Clinton.
La secrétaire d'Etat a évoqué l'éventualité de nouvelles sanctions mais a refusé de répondre à une question sur la possibilité d'armer les rebelles, comme l'ont demandé certains pays comme l'Arabie Saoudite et le Qatar.
Mme Clinton participera jeudi matin à une nouvelle session de discussions à l'Otan, avant de rejoindre Paris où quatorze ministres des Affaires étrangères devraient être présents à une réunion destinée à maintenir la pression sur la Syrie.
La secrétaire d'Etat américaine Hillary Clinton s'est déclarée mercredi préoccupée par la poursuite des violences en Syrie malgré le déploiement des premiers observateurs envoyés par les Nations unies.Mme Clinton a d'autre part indiqué que de "nouvelles mesures" seraient prises si "Assad gâchait la dernière chance" que représente l'application du plan présenté par l'envoyé...
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