Un monologue de 60 minutes qui interroge déesses et planètes sur le devenir humain.
Elle, c’est Rita, Mara et Inana à la fois. C’est surtout Rita Khawand qui, tout en ayant la tête dans les étoiles, semble avoir les pieds bien ancrés sur terre. Elle a écrit le texte, interprète seule et coréalise cette pièce intitulée Mara bil amar ou Femme dans la lune avec Tarek Bacha. Ces deux jeunes diplômés de l’Université libanaise ont fait un parcours commun. S’étant souvent essayé sur les planches, ils ont créé un ensemble, un collectif, et mettent en scène pour la première fois cette création théâtrale.
Sur scène elle est seule, mais incarne à la fois trois caractères. Deux à face humaine et le troisième une déesse. C’est d’abord Rita l’actrice qui découvre le journal de Mara, dont la vie semble passer par des cycles lunaires. Elle évoquera, à travers un récit coloré, les étapes de la vie d’une femme. Et, pour comprendre les parts d’ombre et de lumière, elle interrogera Inana, déesse sumérienne de la lune descendue sur la terre. Toutes les questions sont posées, notamment celles qui se profilent à travers toutes les histoires contées par Mara: dans un monde pragmatique et régi par la science, y a-t-il encore une place à la mythologie? L’humanité est-elle un bloc monolithique ou en mouvance, dynamique? Y a-t-il par ailleurs un lien entre toutes ces femmes qui rêvent... à la lune? Ce secret ne sera révélé qu’à la fin de la pièce.
En effet, si le personnage central est féminin, «c’est parce que la femme réunit en elle le cœur et l’esprit, et tout ce qu’il y a de poésie sur cette planète. C’est elle donc qui tisse les fils de l’écheveau formant la trame de la vie», affirme Rita Khawand.
Avec pour assistante Soline Daccache, comme chargée de production Hanane Dirani, au son Élia el-Haddad, à la scénographie Myrtille Debièvre... le tandem signe une œuvre à la fois réaliste et onirique, sous-tendue par quelques projections vidéo réalisées par Joan Baz et David Habchi, et par cette lune qui dévoile ses différentes faces tout au long de la performance.
Elle, c’est Rita, Mara et Inana à la fois. C’est surtout Rita Khawand qui, tout en ayant la tête dans les étoiles, semble avoir les pieds bien ancrés sur terre. Elle a écrit le texte, interprète seule et coréalise cette pièce intitulée Mara bil amar ou Femme dans la lune avec Tarek Bacha. Ces deux jeunes diplômés de l’Université libanaise ont fait un parcours commun. S’étant souvent essayé sur les planches, ils ont créé un ensemble, un collectif, et mettent en scène pour la première fois cette création théâtrale.
Sur scène elle est seule, mais incarne à la fois trois caractères. Deux à face humaine et le troisième une déesse. C’est d’abord Rita l’actrice qui découvre le journal de Mara, dont la vie semble passer par des cycles lunaires. Elle évoquera, à travers un récit coloré, les étapes de la vie d’une femme. Et, pour comprendre les parts d’ombre et de lumière, elle interrogera Inana, déesse sumérienne de la lune descendue sur la terre. Toutes les questions sont posées, notamment celles qui se profilent à travers toutes les histoires contées par Mara: dans un monde pragmatique et régi par la science, y a-t-il encore une place à la mythologie? L’humanité est-elle un bloc monolithique ou en mouvance, dynamique? Y a-t-il par ailleurs un lien entre toutes ces femmes qui rêvent... à la lune? Ce secret ne sera révélé qu’à la fin de la pièce.
En effet, si le personnage central est féminin, «c’est parce que la femme réunit en elle le cœur et l’esprit, et tout ce qu’il y a de poésie sur cette planète. C’est elle donc qui tisse les fils de l’écheveau formant la trame de la vie», affirme Rita Khawand.
Avec pour assistante Soline Daccache, comme chargée de production Hanane Dirani, au son Élia el-Haddad, à la scénographie Myrtille Debièvre... le tandem signe une œuvre à la fois réaliste et onirique, sous-tendue par quelques projections vidéo réalisées par Joan Baz et David Habchi, et par cette lune qui dévoile ses différentes faces tout au long de la performance.
Un monologue de 60 minutes qui interroge déesses et planètes sur le devenir humain. Elle, c’est Rita, Mara et Inana à la fois. C’est surtout Rita Khawand qui, tout en ayant la tête dans les étoiles, semble avoir les pieds bien ancrés sur terre. Elle a écrit le texte, interprète seule et coréalise cette pièce intitulée Mara bil amar ou Femme dans la lune avec Tarek Bacha. Ces deux...
