Le leader du parti chiite avait, lors d’une intervention télévisée en décembre dernier, déclaré son soutien sans équivoque au régime de Bachar el-Assad, qu’il avait qualifié alors de « régime de la résistance » contre Israël. Il avait également critiqué le chef de l’opposition syrienne, Burhan Ghalioun, qui avait déclaré qu’en cas de chute du régime d’Assad, le nouveau pouvoir syrien reverrait drastiquement ses relations avec l’Iran et le Hezbollah. « Le soi-disant Conseil national syrien, formé à Istanbul, et son leader Burhan Ghalioun (...) se font concurrence pour présenter leurs lettres de créance aux États-Unis et à Israël », avait alors lancé M. Nasrallah.
Moyen Orient et Monde
Nasrallah sera tenu responsable de ses actes « devant les tribunaux révolutionnaires » syriens, avertit l’ASL
OLJ / le 02 février 2012 à 00h53
Le leader du parti chiite avait, lors d’une intervention télévisée en décembre dernier, déclaré son soutien sans équivoque au régime de Bachar el-Assad, qu’il avait qualifié alors de « régime de la résistance » contre Israël. Il avait également critiqué le chef de l’opposition syrienne, Burhan Ghalioun, qui avait déclaré qu’en cas de chute du régime d’Assad, le nouveau pouvoir syrien reverrait drastiquement ses relations avec l’Iran et le Hezbollah. « Le soi-disant Conseil national syrien, formé à Istanbul, et son leader Burhan Ghalioun (...) se font concurrence pour présenter leurs lettres de créance aux États-Unis et à Israël », avait alors lancé M. Nasrallah.