La Syrie se félicite des déclarations d'Ankara, qui a dit ne pas autoriser des attaques contre d'autres pays à partir de la Turquie, a déclaré mercredi le porte-parole du ministère syrien des Affaires étrangères.
"Nous accueillons avec satisfaction toute déclaration turque visant à préserver le bon voisinage avec la Syrie", a affirmé Jihad Makdessi. "Nous regrettons que les choses se soient (dégradées), et nous sommes attachés à ce que les relations soient bonnes avec les pays voisins, particulièrement avec la Turquie".
"Si la partie turque décide de revoir ses positions injustifiées (vis-à-vis de Damas NDLR), nous serons prêts alors à reprendre la coopération", a ajouté M. Makdessi , précisant que Damas était "attaché à la sécurité et à la stabilité de la Turquie et espérait que ce sentiment était réciproque".
Damas a annoncé avoir fait échouer lundi soir une infiltration de "groupes terroristes" dans la province d'Idleb (nord-ouest) depuis la Turquie voisine. Un diplomate turc a répondu que son pays n'autorisait pas d'attaque contre les pays voisins.
La Turquie accueille environ 7.500 Syriens qui ont fui la répression des manifestations anti-gouvernementales dans leur pays.
Elle accueille aussi des déserteurs de l'armée syrienne, dont le colonel Riad al-Assaad, le chef de l'Armée libre syrienne, qui mène depuis plusieurs semaines des attaques contre les forces régulières et les milices pro-régime.
La Turquie s'est joint à la Ligue arabe, et a imposé des sanctions au régime de Damas, accusé de réprimer férocement des manifestations anti-gouvernementales. Ankara a ainsi gelé les échanges commerciaux avec la Syrie, qui est un de ses principaux partenaires économiques, et coupé les liens entre les banques centrales des deux pays.
En réponse, la Syrie a suspendu l'accord de libre échange, augmenté ses tarifs douaniers et mis des entraves à la circulation des camions à ses frontières.
"Nous accueillons avec satisfaction toute déclaration turque visant à préserver le bon voisinage avec la Syrie", a affirmé Jihad Makdessi. "Nous regrettons que les choses se soient (dégradées), et nous sommes attachés à ce que les relations soient bonnes avec les pays voisins, particulièrement avec la Turquie".
"Si la partie turque décide de revoir ses positions injustifiées (vis-à-vis de Damas NDLR), nous serons prêts alors à reprendre la coopération", a ajouté M. Makdessi , précisant que Damas était "attaché à la sécurité et à la stabilité de la Turquie et espérait que ce sentiment était réciproque".
Damas a annoncé avoir fait échouer lundi soir une infiltration de "groupes terroristes" dans la province d'Idleb (nord-ouest) depuis la Turquie voisine. Un diplomate turc a répondu que son pays n'autorisait pas d'attaque contre les pays voisins.
La Turquie accueille environ 7.500 Syriens qui ont fui la répression des manifestations anti-gouvernementales dans leur pays.
Elle accueille aussi des déserteurs de l'armée syrienne, dont le colonel Riad al-Assaad, le chef de l'Armée libre syrienne, qui mène depuis plusieurs semaines des attaques contre les forces régulières et les milices pro-régime.
La Turquie s'est joint à la Ligue arabe, et a imposé des sanctions au régime de Damas, accusé de réprimer férocement des manifestations anti-gouvernementales. Ankara a ainsi gelé les échanges commerciaux avec la Syrie, qui est un de ses principaux partenaires économiques, et coupé les liens entre les banques centrales des deux pays.
En réponse, la Syrie a suspendu l'accord de libre échange, augmenté ses tarifs douaniers et mis des entraves à la circulation des camions à ses frontières.
La Syrie se félicite des déclarations d'Ankara, qui a dit ne pas autoriser des attaques contre d'autres pays à partir de la Turquie, a déclaré mercredi le porte-parole du ministère syrien des Affaires étrangères."Nous accueillons avec satisfaction toute déclaration turque visant à préserver le bon voisinage avec la Syrie", a affirmé Jihad Makdessi. "Nous regrettons que les choses se...
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