La deuxième réunion des pays membres de la convention sur les sous-munitions a adopté hier, lors de sa séance de clôture, une série de recommandations dans un texte intitulé « Déclaration de Beyrouth ». Techniques par excellence, ces recommandations appellent à la poursuite des efforts pour la destruction des stocks des bombes à sous-munitions et la dépollution des terrains.
Les personnes réunies ont mis l’accent sur l’aide qui devrait être accordée aux victimes ainsi que sur l’universalisation de la convention, en encourageant le plus grand nombre de pays à ratifier le texte.
Lors des réunions, il a été convenu de mettre en place une unité de suivi pour la mise en œuvre de la convention. Les pourparlers se poursuivront dans ce cadre.
La troisième réunion des pays membres de la convention se tiendra en septembre prochain à Oslo.
C’est lors d’une conférence de presse que les recommandations ont été rendues publiques. Ont prit part à la conférence, Najla Assaker, ambassadeur du Liban à Genève, Robert Watkins, représentant permanant du PNUD au Liban, Jurg Montani, chef de délégation du CICR, et Steve Goose, secrétaire général de la Coalition contre les bombes à sous-munitions.
Les personnalités présentes ont mis l’accent sur le nombre de délégations officielles présentes à la réunion. Ainsi, 131 État étaient présents, dont quarante non signataires de la convention.
À la question de L’Orient-Le Jour de savoir si le Liban a reçu des dons pour qu’il puisse dépolluer ses terrains des sous-munitions, M. Watkins a souligné qu’il y a eu des engagements de la part de divers États de financer le nettoyage du Liban. Il s’agit notamment de l’Espagne et de l’Allemagne. Il a ajouté que le PNUD aide le pays à trouver des fonds pour les opérations de déminage et de nettoyage des sous-munitions et accorde également une aide technique au Centre libanais de l’action antimines (L-MAC) relevant de l’armée libanaise.
Pat. K.
Les personnes réunies ont mis l’accent sur l’aide qui devrait être accordée aux victimes ainsi que sur l’universalisation de la convention, en encourageant le plus grand nombre de pays à ratifier le texte.
Lors des réunions, il a été convenu de mettre en place une unité de suivi pour la mise en œuvre de la convention. Les pourparlers se poursuivront dans ce cadre.
La troisième réunion des pays membres de la convention se tiendra en septembre prochain à Oslo.
C’est lors d’une conférence de presse que les recommandations ont été rendues publiques. Ont prit part à la conférence, Najla Assaker, ambassadeur du Liban à Genève, Robert Watkins, représentant permanant du PNUD au Liban, Jurg Montani, chef de délégation du CICR, et Steve Goose, secrétaire général de la Coalition contre les bombes à sous-munitions.
Les personnalités présentes ont mis l’accent sur le nombre de délégations officielles présentes à la réunion. Ainsi, 131 État étaient présents, dont quarante non signataires de la convention.
À la question de L’Orient-Le Jour de savoir si le Liban a reçu des dons pour qu’il puisse dépolluer ses terrains des sous-munitions, M. Watkins a souligné qu’il y a eu des engagements de la part de divers États de financer le nettoyage du Liban. Il s’agit notamment de l’Espagne et de l’Allemagne. Il a ajouté que le PNUD aide le pays à trouver des fonds pour les opérations de déminage et de nettoyage des sous-munitions et accorde également une aide technique au Centre libanais de l’action antimines (L-MAC) relevant de l’armée libanaise.
Pat. K.
La deuxième réunion des pays membres de la convention sur les sous-munitions a adopté hier, lors de sa séance de clôture, une série de recommandations dans un texte intitulé « Déclaration de Beyrouth ». Techniques par excellence, ces recommandations appellent à la poursuite des efforts pour la destruction des stocks des bombes à sous-munitions et la dépollution des...
commentaires (0)
Commenter