Le guitariste, compositeur et chanteur flirtant avec le jazz, la pop et l’easy listening vient à Beiteddine le mardi 19 juillet pour un best of de sa carrière.
Ancien compagnon de Miles Davis et héritier direct de l’élégance d’un Wes Montgomery, George Benson n’en reste pas moins un guitariste majeur de l’histoire du jazz. Les critiques musicaux considèrent généralement qu’il a apporté à la guitare jazz ce qu’a réalisé Nat King Cole pour le piano: une sophistication à l’usage du plus grand nombre. George Benson est détenteur de huit Grammy Awards.
Né à Pittsburgh (Pennsylvanie), Benson apprend le ukulélé à 8 ans, joue dans les rues, puis chante et danse dans les clubs de la ville sous le nom de Little Georgie Benson. Lorsqu’il a 11 ans, son beau-père lui offre sa première guitare qu’il pratique en autodidacte dans des orchestres de rythm and blues. Par ailleurs, il enregistre rapidement un premier disque en qualité de chanteur. Ayant découvert le jazz à l’écoute des disques de Charlie Parker et de Wes Montgomery (dont il perpétue depuis la tradition), il débute professionnellement dans la formation de l’organiste Jack McDuff. Après cette période funky, George Benson, devenu guitariste virtuose, joue et enregistre avec quelques grandes vedettes du jazz (Dexter Gordon, Herbie Hancock, Jimmy Smith, etc.) et participe à l’enregistrement de disques avec Miles Davis. Sur les conseils de son producteur, il opte ensuite pour une direction artistique commerciale et obtient le succès populaire escompté en 1976 avec le disque Breezin. Son interprétation de The Masquerade, notamment, le propulse au sommet des hit-parades, désormais «pop-star», consacré par l’album Give Me the Night (1980), ses disques se vendent par millions.
Partagé entre une carrière d’instrumentiste et une activité de crooner, George Benson renoue à l’occasion avec un jazz plus élitiste (en compagnie du pianiste McCoy Tyner ou Count Basie). Toutefois, ses dernières productions discographiques sont signées du sceau de la «variété jazzy» de qualité.
Ancien compagnon de Miles Davis et héritier direct de l’élégance d’un Wes Montgomery, George Benson n’en reste pas moins un guitariste majeur de l’histoire du jazz. Les critiques musicaux considèrent généralement qu’il a apporté à la guitare jazz ce qu’a réalisé Nat King Cole pour le piano: une sophistication à l’usage du plus grand nombre. George Benson est détenteur de huit Grammy Awards.
Né à Pittsburgh (Pennsylvanie), Benson apprend le ukulélé à 8 ans, joue dans les rues, puis chante et danse dans les clubs de la ville sous le nom de Little Georgie Benson. Lorsqu’il a 11 ans, son beau-père lui offre sa première guitare qu’il pratique en autodidacte dans des orchestres de rythm and blues. Par ailleurs, il enregistre rapidement un premier disque en qualité de chanteur. Ayant découvert le jazz à l’écoute des disques de Charlie Parker et de Wes Montgomery (dont il perpétue depuis la tradition), il débute professionnellement dans la formation de l’organiste Jack McDuff. Après cette période funky, George Benson, devenu guitariste virtuose, joue et enregistre avec quelques grandes vedettes du jazz (Dexter Gordon, Herbie Hancock, Jimmy Smith, etc.) et participe à l’enregistrement de disques avec Miles Davis. Sur les conseils de son producteur, il opte ensuite pour une direction artistique commerciale et obtient le succès populaire escompté en 1976 avec le disque Breezin. Son interprétation de The Masquerade, notamment, le propulse au sommet des hit-parades, désormais «pop-star», consacré par l’album Give Me the Night (1980), ses disques se vendent par millions.
Partagé entre une carrière d’instrumentiste et une activité de crooner, George Benson renoue à l’occasion avec un jazz plus élitiste (en compagnie du pianiste McCoy Tyner ou Count Basie). Toutefois, ses dernières productions discographiques sont signées du sceau de la «variété jazzy» de qualité.
Le guitariste, compositeur et chanteur flirtant avec le jazz, la pop et l’easy listening vient à Beiteddine le mardi 19 juillet pour un best of de sa carrière. Ancien compagnon de Miles Davis et héritier direct de l’élégance d’un Wes Montgomery, George Benson n’en reste pas moins un guitariste majeur de l’histoire du jazz. Les critiques musicaux considèrent généralement qu’il...
