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Culture

Merci Hélène Carrère d’Encausse !

C’est un magnifique honneur que l’Académie française vient de faire à Amin Maalouf lui-même, certes, mais aussi et surtout au Liban, à l’identité composite et plurielle prônée par l’auteur des Identités meurtrières et à une culture libanaise polyvalente et pluraliste, et ce à des heures pour le moins sombres où la censure des œuvres artistiques et culturelles recommence à sévir de plus belle, sous l’ombrelle obscurantiste de régimes proches – et moins proches – bien peu démocratiques. Mais s’il convient de remercier les membres de l’Académie pour cet immense hommage qu’ils rendent au Liban, à travers Amin Maalouf, en l’incluant enfin au club des Immortels, c’est surtout à sa présidente, Hélène Carrère d’Encausse, qui avait soutenu la candidature de l’auteur du Rocher de Tanios, que Beyrouth, ville-symbole même de ce Liban pluriel, se doit de remercier tout particulièrement. Hélène Carrère d’Encausse, qui prouve, une fois de plus, sa fidélité indéfectible au pays du Cèdre. Alors, du fond du cœur, merci !
C’est un magnifique honneur que l’Académie française vient de faire à Amin Maalouf lui-même, certes, mais aussi et surtout au Liban, à l’identité composite et plurielle prônée par l’auteur des Identités meurtrières et à une culture libanaise polyvalente et pluraliste, et ce à des heures pour le moins sombres où la censure des œuvres artistiques et culturelles recommence à...

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