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Cinema-

Une première année productive pour le Doha Film Institute

Amanda Palmer, directrice du Doha Film Institute. (DR)

Présent à Cannes, le DFI a annoncé, par la voix de sa directrice, le soutien à 25 réalisateurs. « Une année qui s'est fêtée non seulement par des communiqués, a dit Amanda Palmer, mais par des actes. » En effet, Palmer a revendiqué la diversité des projets, ainsi que de leurs auteurs. Le fonds du DFI a pu aider autant de réalisateurs déjà reconnus que de jeunes nouveaux venus. De l'Égypte au Maroc, en passant par la Tunisie ou le Liban, près de deux cents projets ont été reçus et 25 aides octroyées. Et d'ajouter : « Il y a un véritable désir de création dans les pays arabes, même en ce temps de grands bouleversements, mais il y a par ailleurs une grande difficulté de financement. » « Certains producteurs, poursuit Palmer, sont très impliqués dans la marche à suivre d'un film arabe, comme Anne-Dominique Toussaint qui a produit le film Et maintenant on va où ? de Nadine Labaki et qui a pu le faire sélectionner dans " Un certain regard ". Ceux-là reçoivent une aide financière directe du DFI. Ainsi, en 2010, six films en ont bénéficié de la sorte. »
Sheikh Jabor bin Yousuf al-Thani, membre du comité du Doha Film Festival, a réitéré son soutien aux projets cinématographiques arabes car Doha ne compte pas seulement établir sa propre industrie de films, mais aussi être la plaque tournante pour toutes les productions de la région.
Hawi (Ibrahim el-Batout), A Man of Honour (Jean-Claude Codsi), Man Without a Cellphone (Sameh Zoabi), Grandma, a Thousand Times (Mahmoud Kaabour), The Mountain (Ghassam Salhab) et Where Do We Go Now ? (Nadine Labaki) sont des exemples de films qui ont reçu en 2010 le soutien du DFI. De plus, le DFI a annoncé le lancement de la première coproduction internationale avec Quinta Communications, Black Gold. Un film que réalisera Jean-Jacques Annaud, avec pour interprètes Antonio Banderas, Freida Pinto, Tahar Rahim et Mark Strong.

 

C.K

Présent à Cannes, le DFI a annoncé, par la voix de sa directrice, le soutien à 25 réalisateurs. « Une année qui s'est fêtée non seulement par des communiqués, a dit Amanda Palmer, mais par des actes. » En effet, Palmer a revendiqué la diversité des projets, ainsi que de leurs auteurs. Le fonds du DFI a pu aider autant de réalisateurs déjà reconnus que de jeunes...

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