La Grande-Bretagne a mis en garde lundi contre une escalade des "graves défis économiques, sociaux et sécuritaires" si la transition du pouvoir du président Ali Abdallah Saleh ne s'effectue pas "aussi rapidement que possible".
Le secrétaire d'Etat britannique aux Affaires étrangères, chargé du Moyen-Orient et de l'Afrique du Nord, Alistair Burt, a exhorté toutes les parties à "saisir cette occasion et à finaliser un accord", à la suite d'un entretien avec le secrétaire d'Etat aux Affaires étrangères des Emirats arabes unis Anwar Mohammed Gargash.
Les opposants au président Saleh, qui manifestent au Yémen depuis janvier, se sont rassemblés lundi pour protester contre le plan de sortie de crise du Conseil de coopération du Golfe (CCG), qui prévoit le départ du chef de l'Etat sous 30 jours en échange de son immunité.
"Nous soutenons fermement l'initiative du CCG pour résoudre la crise au Yémen", a indiqué M. Burt dans un communiqué. "L'initiative du CCG représente notre meilleur espoir d'une issue pacifique et constructive", a-t-il ajouté.
Lundi, les forces de sécurité et les partisans du président Saleh ont tué deux personnes lorsque des centaines de milliers d'opposants sont descendus dans les rues pour demander le départ immédiat du chef de l'Etat, selon des témoins et des sources médicales.
"Il est vital qu'un accord soit conclu aussi rapidement que possible afin d'éviter de nouvelles violences et de permettre à un nouveau gouvernement de s'attaquer aux graves défis économiques, sociaux et sécuritaires" du Yémen", estime M. Burt.
"Tout retard ne sert qu'à favoriser l'instabilité et à faire du mal au peuple du Yémen, très résistant mais qui souffre depuis longtemps", poursuit le responsable britannique.
Le secrétaire d'Etat britannique aux Affaires étrangères, chargé du Moyen-Orient et de l'Afrique du Nord, Alistair Burt, a exhorté toutes les parties à "saisir cette occasion et à finaliser un accord", à la suite d'un entretien avec le secrétaire d'Etat aux Affaires étrangères des Emirats arabes unis Anwar Mohammed Gargash.
Les opposants au président Saleh, qui manifestent au Yémen depuis janvier, se sont rassemblés lundi pour protester contre le plan de sortie de crise du Conseil de coopération du Golfe (CCG), qui prévoit le départ du chef de l'Etat sous 30 jours en échange de son immunité.
"Nous soutenons fermement l'initiative du CCG pour résoudre la crise au Yémen", a indiqué M. Burt dans un communiqué. "L'initiative du CCG représente notre meilleur espoir d'une issue pacifique et constructive", a-t-il ajouté.
Lundi, les forces de sécurité et les partisans du président Saleh ont tué deux personnes lorsque des centaines de milliers d'opposants sont descendus dans les rues pour demander le départ immédiat du chef de l'Etat, selon des témoins et des sources médicales.
"Il est vital qu'un accord soit conclu aussi rapidement que possible afin d'éviter de nouvelles violences et de permettre à un nouveau gouvernement de s'attaquer aux graves défis économiques, sociaux et sécuritaires" du Yémen", estime M. Burt.
"Tout retard ne sert qu'à favoriser l'instabilité et à faire du mal au peuple du Yémen, très résistant mais qui souffre depuis longtemps", poursuit le responsable britannique.
La Grande-Bretagne a mis en garde lundi contre une escalade des "graves défis économiques, sociaux et sécuritaires" si la transition du pouvoir du président Ali Abdallah Saleh ne s'effectue pas "aussi rapidement que possible".Le secrétaire d'Etat britannique aux Affaires étrangères, chargé du Moyen-Orient et de l'Afrique du Nord, Alistair Burt, a exhorté toutes les parties à "saisir...
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