Une huile sur toile de Raymond Aouad.
Jusqu'au 20 avril, la salle d'exposition du Centre culturel français* accueille une sélection d'œuvres de trois artistes : Marie Khoury, Raymond Aouad et Serge Amiouni.
Aquarelles reproduisant le charme des villages libanais d'antan, des maisons traditionnelles en pierre de taille et tuiles rouges, des vignes et des coins de nature verdoyante pour Marie Khoury au pinceau délicat. Cette jeune femme originaire du Chouf a été victime d'une balle perdue durant la guerre qui l'a laissée paraplégique. Installée depuis à l'Institut des handicapés de Beit Chébab, elle y apprend à dessiner et peindre avec un pinceau attaché à une attelle à sa main droite. Puis, à l'Institut Michelange des beaux-arts, elle se forme à l'aquarelle avec beaucoup de talent. En témoigne la belle série de tableaux accrochés aux cimaises du CCF.
Raymond Aouad, formé à la peinture décorative en France, a participé à plusieurs expositions à Paris entre 2002 et 2007, l'année où il retourne au Liban. Installé à Ghazir, il s'adonne avec passion à l'abstraction, à l'huile et avec une prédilection pour les couleurs fortes et chaudes.
Pour Serge Amiouni, gérant d'une galerie d'art et d'un atelier d'encadrement, la photographie, sa passion première depuis son plus jeune âge, reste son outil d'expression préféré. Surtout lorsqu'il s'agit d'évoquer, dans une série à mi-chemin entre le documentaire et le cliché artistique, l'univers des pêcheurs que ce natif de Aïn Mreisseh a bien connu. Et qu'il fait (re)découvrir aux visiteurs de cette exposition à travers des images en noir et blanc, au cadrage original et à la composition d'une belle sensibilité.
* CCF, rue de Damas. Horaires d'ouverture : du lundi au vendredi, de 13h00 à 19h00. Tél. : 01/420232.
Aquarelles reproduisant le charme des villages libanais d'antan, des maisons traditionnelles en pierre de taille et tuiles rouges, des vignes et des coins de nature verdoyante pour Marie Khoury au pinceau délicat. Cette jeune femme originaire du Chouf a été victime d'une balle perdue durant la guerre qui l'a laissée paraplégique. Installée depuis à l'Institut des handicapés de Beit Chébab, elle y apprend à dessiner et peindre avec un pinceau attaché à une attelle à sa main droite. Puis, à l'Institut Michelange des beaux-arts, elle se forme à l'aquarelle avec beaucoup de talent. En témoigne la belle série de tableaux accrochés aux cimaises du CCF.
Raymond Aouad, formé à la peinture décorative en France, a participé à plusieurs expositions à Paris entre 2002 et 2007, l'année où il retourne au Liban. Installé à Ghazir, il s'adonne avec passion à l'abstraction, à l'huile et avec une prédilection pour les couleurs fortes et chaudes.
Pour Serge Amiouni, gérant d'une galerie d'art et d'un atelier d'encadrement, la photographie, sa passion première depuis son plus jeune âge, reste son outil d'expression préféré. Surtout lorsqu'il s'agit d'évoquer, dans une série à mi-chemin entre le documentaire et le cliché artistique, l'univers des pêcheurs que ce natif de Aïn Mreisseh a bien connu. Et qu'il fait (re)découvrir aux visiteurs de cette exposition à travers des images en noir et blanc, au cadrage original et à la composition d'une belle sensibilité.
* CCF, rue de Damas. Horaires d'ouverture : du lundi au vendredi, de 13h00 à 19h00. Tél. : 01/420232.
Jusqu'au 20 avril, la salle d'exposition du Centre culturel français* accueille une sélection d'œuvres de trois artistes : Marie Khoury, Raymond Aouad et Serge Amiouni. Aquarelles reproduisant le charme des villages libanais d'antan, des maisons traditionnelles en pierre de taille et tuiles rouges, des vignes et des coins de nature verdoyante pour Marie Khoury au pinceau délicat. Cette jeune...
