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Culture - Demain, à 20h30, au Festival al-Bustan

« Triosence », l’essence du jeune jazz allemand

Ils sont trois et n'ont pas 40 ans. Bernhard Schüler au piano, Matthias Nowak à la contrebasse et Stephan Emig à la batterie ont fondé « Triosence » en 1999. L'ensemble a très vite acquis la reconnaissance des amateurs en Allemagne tout d'abord, puis au Japon et, enfin, en Europe. Le « Triosence » s'articule autour de l'émancipation des trois instruments. Il a rapidement trouvé son identité sonore en axant sur une clarté et une mélodie irréprochables. Leur succès leur vient également de leur capacité et leur volonté à transcender les frontières des genres, se laissant volontiers influencer par les musiques fusion, folk et world. Depuis sa création, « Triosence » a enregistré quatre albums : First Enchantment (2002), Away for a While (2005), When you Come Home (2008) et Where Time Stands Still (2010).
Ils sont trois et n'ont pas 40 ans. Bernhard Schüler au piano, Matthias Nowak à la contrebasse et Stephan Emig à la batterie ont fondé « Triosence » en 1999. L'ensemble a très vite acquis la reconnaissance des amateurs en Allemagne tout d'abord, puis au Japon et, enfin, en Europe. Le « Triosence » s'articule autour de l'émancipation des trois instruments. Il a rapidement trouvé son...
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