Albeeeeeeeeeeeeert - sans Charlène !
Les relations bilatérales et les moyens de les renforcer, notamment sur les plans de l'environnement et de l'économie, l'inspection du cèdre planté en 2002 dans les jardins du palais de Baabda, les échanges de hautes décorations avec le président Michel Sleiman et la tournée au centre-ville, étaient à l'ordre du jour de la visite d'Albert II de Monaco et de sa délégation au Liban. Ça, c'est pour le côté face, devant les caméras. Mais le côté pile, off the records, était beaucoup plus... cool ! Tout le monde a viré veste et cravate pour passer un week-end à Faraya où, à l'invitation de Mohammad el-Solh (frère du consul du Liban à Monaco, l'homme d'affaires Moustapha Samih el-Solh), ils ont dîné au Montagnou, pour la plus grande joie des filles et des femmes présentes ce soir-là et qui se sont déchaînées avec lui sur la petite piste de danse, photo par téléphone mobile postée sur Facebook à l'appui ! La veille au club Mandaloun, le prince, qui avait vivement applaudi une danseuse arabe, a subi le même cérémonial avec force flashes : il s'est plié gracieusement à leur demande, leur distribuant même ses cartes de visite. Mais aucune d'elle n'a été invité à son mariage ! Par ailleurs, au cours d'un dîner au restaurant Le Premier, à l'hôtel Vendôme, donné par le consul de Monaco au Liban, Béchara el-Khoury, et son épouse Alexandra, la délégation du prince, qui regroupe entre autres le ministre des AE et de la Coopération internationale et le président de la Chambre de commerce, a offert à Raymond Audi, Fouad el-Khazen, Michèle de Freige, Marwan Salha, Riad et Nada el-Assaad le « Monaco Private Label », une carte sésame qui permet l'accès à tout ce que l'argent ne peut pas acheter : une visite privée du palais, une loge à l'opéra même si le spectacle est sold out, une chambre dans le meilleur hôtel même si toutes sont surbookés, etc. Le pied. Sauf que pour un dejeuner avec l'insaisissable Charlène, ils pourront toujours attendre!
Laisse les gondoles au... B0 18
Quelque 150 invités - dont une partie dans leurs magnifiques capes ou costumes rehaussés de jabots, manchettes et bijoux, dissimulée sous des masques, distillant par leur présence quelques mystères et splendeurs du carnaval de Venise - ont répondu présents au dîner offert par Diana et Bernard Tannouri, au B018. Le welcome drink (et plus tard le dîner made by Faqra catering) a été servi sous une immense tente-igloo dressée en plein air où déambulaient des hommes-échassiers distribuant des masques aux convives qui en manquaient, avant de les guider vers le temple des noctambules où, pour les faire rêver le temps d'une soirée, Alain Hadifé a planté un décor théâtral : cuir chesterfield, Récamiers, rideaux en velours rouge, candélabres patiné vieil or, spots diffusant une lumière douce rouge, des reproductions de tableaux de l'artiste ukrainien Roman Garassüta que l'hôtesse adore, etc... On a le Venise qu'on peut, et parfois c'est très cool, et ce ne sont pas Nagi Asfar, Salwa Ghunaim, Violette Chammas, Nadim et Anne-Marie Romanos, Kamal et Aline Tannous, ainsi que Nadim et Laure Nasralla, Richard et Rita Mehanna, Paul et Rita Naimy, Paolo (en cape et long nez) et Isabelle Bonja, dont les costumes ont fait pas mal d'envieux, qui diront le contraire : ils ont swingué comme de beaux angelots. Vénitiens, sûrement.
L'Huguette est la plus belle
Malgré son problème de genou qui l'oblige à s'appuyer sur une canne (un très bel objet offert par feu l'architecte Pierre el-Khoury), Huguette Caland est en superforme. Ce n'est que le temps qui passe, le cœur est encore jeune - et si jeune ! Vêtue d'une abaya rouge coquelicot, elle a fêté avec enthousiasme ses 80 ans au Al Dente, où ses enfants Pierre et Brigitte Caland (Philippe était malade) avaient invités leurs cousins, cousines, et amis(es), dont cheikh Béchara el-Khoury, la marquise Renée de Freige et ses enfants Michèle et Jean (avec Nayla), May Joumblatt, Claude Trad, Sara Salem, Nagib Jabre, Dave et Maya Corm, Nagib et Nadine Begdache... Confectionné par Cannelle, le gâteau d'anniversaire représentait une composition de ses peintures, exposées actuellement à la galerie Janine Rubeiz, à Raouché. Happy birthday, lady H !
Monica aurait adoré !
Des big boss affiliés au club cigare, notamment le gouverneur de la Banque du Liban, Riad Salamé, Boutros Harb, Robert Ghanem, Chadi Karam, Fadi Fawaz, Michel Tuéni (alias Micky), Ghaleb Mahmassani et tant d'autres (au total trente) se sont réunis à déjeuner au Gaucho - non pas pour sortir de leur chapeau un lapin-solution aux problèmes endémiques du pays -, mais pour prendre religieusement leur guillotine, couper la tête de leur cigare, le coincer entre les dents avant de le savourer en faisant tourbillonner une fumée dense et opaque dans la salle. Stoïquement, l'acteur Hussein Fahmi et l'ambassadeur d'Égypte Fouad el-Bediaoui, qui déjeunaient à une table voisine, n'ont pas bronché. Moins charitables, les dames conviées par Thérèse Tohmé se sont soulevées contre les pollueurs, exigeant haut et fort de les confiner dans une autre pièce... Celle-ci ne pouvant contenir trente couverts, les rideaux servant au décor ont été donc tirés pour envelopper nos Churchill dans leurs volutes et servir de ligne de démarcation entre les deux clans. Décidément, malgré la douce jouissance qu'il procure aux uns, ce cigare reste une peste pour les autres... En attendant la loi ?
Les relations bilatérales et les moyens de les renforcer, notamment sur les plans de l'environnement et de l'économie, l'inspection du cèdre planté en 2002 dans les jardins du palais de Baabda, les échanges de hautes décorations avec le président Michel Sleiman et la tournée au centre-ville, étaient à l'ordre du jour de la visite d'Albert II de Monaco et de sa délégation au Liban. Ça, c'est pour le côté face, devant les caméras. Mais le côté pile, off the records, était beaucoup plus... cool ! Tout le monde a viré veste et cravate pour passer un week-end à Faraya où, à l'invitation de Mohammad el-Solh (frère du consul du Liban à Monaco, l'homme d'affaires Moustapha Samih el-Solh), ils ont dîné au Montagnou, pour la plus grande joie des filles et des femmes présentes ce soir-là et qui se sont déchaînées avec lui sur la petite piste de danse, photo par téléphone mobile postée sur Facebook à l'appui ! La veille au club Mandaloun, le prince, qui avait vivement applaudi une danseuse arabe, a subi le même cérémonial avec force flashes : il s'est plié gracieusement à leur demande, leur distribuant même ses cartes de visite. Mais aucune d'elle n'a été invité à son mariage ! Par ailleurs, au cours d'un dîner au restaurant Le Premier, à l'hôtel Vendôme, donné par le consul de Monaco au Liban, Béchara el-Khoury, et son épouse Alexandra, la délégation du prince, qui regroupe entre autres le ministre des AE et de la Coopération internationale et le président de la Chambre de commerce, a offert à Raymond Audi, Fouad el-Khazen, Michèle de Freige, Marwan Salha, Riad et Nada el-Assaad le « Monaco Private Label », une carte sésame qui permet l'accès à tout ce que l'argent ne peut pas acheter : une visite privée du palais, une loge à l'opéra même si le spectacle est sold out, une chambre dans le meilleur hôtel même si toutes sont surbookés, etc. Le pied. Sauf que pour un dejeuner avec l'insaisissable Charlène, ils pourront toujours attendre!
Laisse les gondoles au... B0 18
Quelque 150 invités - dont une partie dans leurs magnifiques capes ou costumes rehaussés de jabots, manchettes et bijoux, dissimulée sous des masques, distillant par leur présence quelques mystères et splendeurs du carnaval de Venise - ont répondu présents au dîner offert par Diana et Bernard Tannouri, au B018. Le welcome drink (et plus tard le dîner made by Faqra catering) a été servi sous une immense tente-igloo dressée en plein air où déambulaient des hommes-échassiers distribuant des masques aux convives qui en manquaient, avant de les guider vers le temple des noctambules où, pour les faire rêver le temps d'une soirée, Alain Hadifé a planté un décor théâtral : cuir chesterfield, Récamiers, rideaux en velours rouge, candélabres patiné vieil or, spots diffusant une lumière douce rouge, des reproductions de tableaux de l'artiste ukrainien Roman Garassüta que l'hôtesse adore, etc... On a le Venise qu'on peut, et parfois c'est très cool, et ce ne sont pas Nagi Asfar, Salwa Ghunaim, Violette Chammas, Nadim et Anne-Marie Romanos, Kamal et Aline Tannous, ainsi que Nadim et Laure Nasralla, Richard et Rita Mehanna, Paul et Rita Naimy, Paolo (en cape et long nez) et Isabelle Bonja, dont les costumes ont fait pas mal d'envieux, qui diront le contraire : ils ont swingué comme de beaux angelots. Vénitiens, sûrement.
L'Huguette est la plus belle
Malgré son problème de genou qui l'oblige à s'appuyer sur une canne (un très bel objet offert par feu l'architecte Pierre el-Khoury), Huguette Caland est en superforme. Ce n'est que le temps qui passe, le cœur est encore jeune - et si jeune ! Vêtue d'une abaya rouge coquelicot, elle a fêté avec enthousiasme ses 80 ans au Al Dente, où ses enfants Pierre et Brigitte Caland (Philippe était malade) avaient invités leurs cousins, cousines, et amis(es), dont cheikh Béchara el-Khoury, la marquise Renée de Freige et ses enfants Michèle et Jean (avec Nayla), May Joumblatt, Claude Trad, Sara Salem, Nagib Jabre, Dave et Maya Corm, Nagib et Nadine Begdache... Confectionné par Cannelle, le gâteau d'anniversaire représentait une composition de ses peintures, exposées actuellement à la galerie Janine Rubeiz, à Raouché. Happy birthday, lady H !
Monica aurait adoré !
Des big boss affiliés au club cigare, notamment le gouverneur de la Banque du Liban, Riad Salamé, Boutros Harb, Robert Ghanem, Chadi Karam, Fadi Fawaz, Michel Tuéni (alias Micky), Ghaleb Mahmassani et tant d'autres (au total trente) se sont réunis à déjeuner au Gaucho - non pas pour sortir de leur chapeau un lapin-solution aux problèmes endémiques du pays -, mais pour prendre religieusement leur guillotine, couper la tête de leur cigare, le coincer entre les dents avant de le savourer en faisant tourbillonner une fumée dense et opaque dans la salle. Stoïquement, l'acteur Hussein Fahmi et l'ambassadeur d'Égypte Fouad el-Bediaoui, qui déjeunaient à une table voisine, n'ont pas bronché. Moins charitables, les dames conviées par Thérèse Tohmé se sont soulevées contre les pollueurs, exigeant haut et fort de les confiner dans une autre pièce... Celle-ci ne pouvant contenir trente couverts, les rideaux servant au décor ont été donc tirés pour envelopper nos Churchill dans leurs volutes et servir de ligne de démarcation entre les deux clans. Décidément, malgré la douce jouissance qu'il procure aux uns, ce cigare reste une peste pour les autres... En attendant la loi ?
Albeeeeeeeeeeeeert - sans Charlène ! Les relations bilatérales et les moyens de les renforcer, notamment sur les plans de l'environnement et de l'économie, l'inspection du cèdre planté en 2002 dans les jardins du palais de Baabda, les échanges de hautes décorations avec le président Michel Sleiman et la tournée au centre-ville, étaient à l'ordre du jour de la visite d'Albert...
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