L'Union européenne "condamne fermement" l'attaque de la Corée du Nord qui a bombardé mardi une île sud-coréenne, faisant deux morts et 18 blessés, a annoncé sa chef de la diplomatie, Catherine Ashton.
"Je suis profondément préoccupée par les événements d'aujourd'hui dans la péninsule coréenne qui a fait des victimes parmi des militaires et civils sud-coréens" et "je condamne fermement cette attaque de la Corée du Nord", a écrit Mme Ashton dans un communiqué.
La haute représentante de l'UE pour les Affaires étrangères a appelé les autorités nord-coréennes "à s'abstenir de toute action qui risque de créer une escalade et de respecter pleinement l'accord d'armistice coréen".
"Nous suivons attentivement les développement de la situation", a dit Mme Ashton avant de souligner que "la paix et la sécurité dans la péninsule coréenne demeurent essentielles pour la région et le monde".
La Corée du Nord a tiré mardi des dizaines d'obus sur une île de Corée du Sud, tuant deux soldats, déclenchant des tirs de riposte de Séoul et provoquant un tollé international. Pyongyang a réagi en assurant que le Sud avait tiré en premier.
Ces affrontements, qui sont parmi les plus graves depuis la guerre de Corée (1950-1953), ont avivé les tensions dans la péninsule, après la révélation d'un programme d'enrichissement d'uranium mené par Pyongyang.
Une cinquantaine d'obus, selon la chaîne de télévision YTN, sont tombés sur l'île de Yeonpyeong (environ 1.500 habitants), située en mer Jaune, dans une zone disputée par les deux Corées, théâtre d'autres incidents par le passé.
Le bombardement a tué deux soldats et fait 18 blessés, dont cinq soldats grièvement blessés et cinq civils, a annoncé le général Lee Hong-Ki.
L'île de Yeonpyeong est située juste au sud de la ligne frontalière décrétée par les Nations unies après la guerre de Corée, mais elle se situe au nord de ligne de partage revendiquée par Pyongyang. De graves incidents navals s'étaient produits dans la même zone en 1999, 2002 et en novembre 2009.
Les tensions entre les deux Corées sont particulièrement fortes depuis le torpillage, attribué au Nord, d'un navire de guerre sud-coréen en mars, qui a causé la mort de 46 marins sud-coréens. Pyongyang réfute ces accusations.
Les tirs de mardi interviennent alors que l'existence d'un programme d'enrichissement d'uranium en Corée du Nord a été révélée par un scientifique américain, accroissant la tension et l'inquiétude des Etats-Unis et de leurs alliés.
"Je suis profondément préoccupée par les événements d'aujourd'hui dans la péninsule coréenne qui a fait des victimes parmi des militaires et civils sud-coréens" et "je condamne fermement cette attaque de la Corée du Nord", a écrit Mme Ashton dans un communiqué.
La haute représentante de l'UE pour les Affaires étrangères a appelé les autorités nord-coréennes "à s'abstenir de toute action qui risque de créer une escalade et de respecter pleinement l'accord d'armistice coréen".
"Nous suivons attentivement les développement de la situation", a dit Mme Ashton avant de souligner que "la paix et la sécurité dans la péninsule coréenne demeurent essentielles pour la région et le monde".
La Corée du Nord a tiré mardi des dizaines d'obus sur une île de Corée du Sud, tuant deux soldats, déclenchant des tirs de riposte de Séoul et provoquant un tollé international. Pyongyang a réagi en assurant que le Sud avait tiré en premier.
Ces affrontements, qui sont parmi les plus graves depuis la guerre de Corée (1950-1953), ont avivé les tensions dans la péninsule, après la révélation d'un programme d'enrichissement d'uranium mené par Pyongyang.
Une cinquantaine d'obus, selon la chaîne de télévision YTN, sont tombés sur l'île de Yeonpyeong (environ 1.500 habitants), située en mer Jaune, dans une zone disputée par les deux Corées, théâtre d'autres incidents par le passé.
Le bombardement a tué deux soldats et fait 18 blessés, dont cinq soldats grièvement blessés et cinq civils, a annoncé le général Lee Hong-Ki.
L'île de Yeonpyeong est située juste au sud de la ligne frontalière décrétée par les Nations unies après la guerre de Corée, mais elle se situe au nord de ligne de partage revendiquée par Pyongyang. De graves incidents navals s'étaient produits dans la même zone en 1999, 2002 et en novembre 2009.
Les tensions entre les deux Corées sont particulièrement fortes depuis le torpillage, attribué au Nord, d'un navire de guerre sud-coréen en mars, qui a causé la mort de 46 marins sud-coréens. Pyongyang réfute ces accusations.
Les tirs de mardi interviennent alors que l'existence d'un programme d'enrichissement d'uranium en Corée du Nord a été révélée par un scientifique américain, accroissant la tension et l'inquiétude des Etats-Unis et de leurs alliés.
L'Union européenne "condamne fermement" l'attaque de la Corée du Nord qui a bombardé mardi une île sud-coréenne, faisant deux morts et 18 blessés, a annoncé sa chef de la diplomatie, Catherine Ashton."Je suis profondément préoccupée par les événements d'aujourd'hui dans la péninsule coréenne qui a...
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