Un millier de personnes se sont rassemblées dimanche à Paris pour soutenir l'Iranienne Sakineh Mohammadi-Ashtiani, condamnée à mort par lapidation dans son pays, a constaté un journaliste de l'AFP.
Les manifestants se sont réunis à l'appel de La Règle du jeu, revue du philosophe Bernard-Henri Lévy, et de l'association de défense des droits des femmes Ni Putes ni soumises.
"Sakineh est devenue un symbole malgré elle. Si nous sauvons cette innocente, nous contribuerons à sauver toutes les autres femmes qui attendent dans les couloirs de la mort", a affirmé Bernard-Henri Lévy.
"Pouvons-nous l'emporter ? Je pense que oui !", a-t-il lancé, estimant que la société iranienne aussi avait "le coeur soulevé par cette condamnation".
"La peine de lapidation n'a toujours pas été suspendue, contrairement à ce qu'affirme le régime. Je n'ai reçu aucune notification officielle", a déclaré au téléphone depuis l'Iran, l'avocat de Sakineh, Houtan Kian. Selon lui, sa cliente risque d'être lapidée "à tout moment".
La "suspension" de la condamnation à mort a été annoncée officiellement le 9 juillet par l'autorité judiciaire iranienne, et réaffirmée régulièrement depuis par divers dirigeants iraniens, publiquement ou en privé.
"Ma mère est dans une situation psychologique dramatique", a témoigné à son tour le fils de l'Iranienne, Sajjad. Des lettres de soutien ont ensuite été lues au micro.
M. Lévy a assuré que des copies de ces lettres, et de dizaines d'autres, seraient remises au guide suprême Khamenei. La pétition dont sa revue est à l'origine a recueilli 135.000 signatures.
Sakineh Mohammadi-Ashtiani, mère de famille de 43 ans, a été condamnée en 2006 à 10 ans de prison pour participation au meurtre de son mari avec l'un de ses amants, et à la lapidation pour plusieurs adultères, selon les autorités iraniennes.
Les manifestants se sont réunis à l'appel de La Règle du jeu, revue du philosophe Bernard-Henri Lévy, et de l'association de défense des droits des femmes Ni Putes ni soumises.
"Sakineh est devenue un symbole malgré elle. Si nous sauvons cette innocente, nous contribuerons à sauver toutes les autres femmes qui attendent dans les couloirs de la mort", a affirmé Bernard-Henri Lévy.
"Pouvons-nous l'emporter ? Je pense que oui !", a-t-il lancé, estimant que la société iranienne aussi avait "le coeur soulevé par cette condamnation".
"La peine de lapidation n'a toujours pas été suspendue, contrairement à ce qu'affirme le régime. Je n'ai reçu aucune notification officielle", a déclaré au téléphone depuis l'Iran, l'avocat de Sakineh, Houtan Kian. Selon lui, sa cliente risque d'être lapidée "à tout moment".
La "suspension" de la condamnation à mort a été annoncée officiellement le 9 juillet par l'autorité judiciaire iranienne, et réaffirmée régulièrement depuis par divers dirigeants iraniens, publiquement ou en privé.
"Ma mère est dans une situation psychologique dramatique", a témoigné à son tour le fils de l'Iranienne, Sajjad. Des lettres de soutien ont ensuite été lues au micro.
M. Lévy a assuré que des copies de ces lettres, et de dizaines d'autres, seraient remises au guide suprême Khamenei. La pétition dont sa revue est à l'origine a recueilli 135.000 signatures.
Sakineh Mohammadi-Ashtiani, mère de famille de 43 ans, a été condamnée en 2006 à 10 ans de prison pour participation au meurtre de son mari avec l'un de ses amants, et à la lapidation pour plusieurs adultères, selon les autorités iraniennes.
Un millier de personnes se sont rassemblées dimanche à Paris pour soutenir l'Iranienne Sakineh Mohammadi-Ashtiani, condamnée à mort par lapidation dans son pays, a constaté un journaliste de l'AFP.Les manifestants se sont réunis à l'appel de La Règle du jeu, revue du philosophe Bernard-Henri Lévy, et de l'association de défense...
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