Le ministre israélien des Affaires étrangères Avigdor Lieberman a affirmé dimanche qu'il ne croyait pas à la possibilité de parvenir à un accord avec l'Autorité palestinienne "ni l'an prochain ni durant la prochaine génération".
"La signature d'un accord de paix qui signifierait la fin du conflit et des revendications mutuelles ainsi que la reconnaissance d'Israël comme Etat national du peuple juif, n'est pas un objectif accessible ni l'an prochain ni durant la prochaine génération", a affirmé M. Lieberman, dont les propos ont été diffusés par la deuxième chaîne de télévision privée.
Le ministre des Affaires étrangères a fait ces déclarations lors d'une réunion de militants de son parti ultra-nationaliste Israël Beiteinou à l'approche du nouvel an juif célébré à partir de mercredi.
"Abou Mazen (Mahmoud Abbas, le président palestinien), ne signera pas d'accord global, c'est pourquoi nous devons aspirer à un accord intérimaire à long terme et nous concentrer sur la sécurité d'Israël", a ajouté le chef de la diplomatie.
"Nous devrions réfléchir sur les raisons qui poussent Israël à accepter de participer à des productions grandioses et internationales comme celle qui a eu lieu à Washington. Toutes ces productions ont fourni des titres aux médias mais n'ont abouti à rien, malgré les concessions israéliennes et la bonne volonté de nos dirigeants, de Shimon Peres (actuel président) jusqu'à Benjamin Netanyahu" le Premier ministre, a ajouté M. Lieberman.
M. Lieberman a également annoncé qu'il avait demandé aux responsables de son ministère d'organiser des "exercices de simulation" sur la situation qui prévaudrait au cas où Israël se retirerait de tous les territoires palestiniens.
Suspendues depuis l'offensive israélienne sur Gaza fin 2008, les négociations directes de paix ont repris jeudi dernier à Washington, sous parrainage américain, entre le Premier ministre Benjamin Netanyahu et le président de l'Autorité palestinienne Mahmoud Abbas.
L'objectif de ces discussions est d'élaborer dans un délai d'un an un "accord-cadre" -avec des arrangements "intermédiaires"- fixant les grandes lignes d'un règlement final du conflit. Un tel règlement permettrait la création d'un Etat palestinien et l'établissement d'une "paix durable" au Proche-Orient.
Dans le cadre de cette reprise du dialogue, MM. Netanyahu et Abbas doivent se retrouver les 14 et 15 septembre dans la station balnéaire égyptienne de Charm el Cheikh, en présence de la secrétaire d'Etat Hillary Clinton et de l'émissaire spécial américain pour le Proche-Orient George Mitchell.
"La signature d'un accord de paix qui signifierait la fin du conflit et des revendications mutuelles ainsi que la reconnaissance d'Israël comme Etat national du peuple juif, n'est pas un objectif accessible ni l'an prochain ni durant la prochaine génération", a affirmé M. Lieberman, dont les propos ont été diffusés par la deuxième chaîne de télévision privée.
Le ministre des Affaires étrangères a fait ces déclarations lors d'une réunion de militants de son parti ultra-nationaliste Israël Beiteinou à l'approche du nouvel an juif célébré à partir de mercredi.
"Abou Mazen (Mahmoud Abbas, le président palestinien), ne signera pas d'accord global, c'est pourquoi nous devons aspirer à un accord intérimaire à long terme et nous concentrer sur la sécurité d'Israël", a ajouté le chef de la diplomatie.
"Nous devrions réfléchir sur les raisons qui poussent Israël à accepter de participer à des productions grandioses et internationales comme celle qui a eu lieu à Washington. Toutes ces productions ont fourni des titres aux médias mais n'ont abouti à rien, malgré les concessions israéliennes et la bonne volonté de nos dirigeants, de Shimon Peres (actuel président) jusqu'à Benjamin Netanyahu" le Premier ministre, a ajouté M. Lieberman.
M. Lieberman a également annoncé qu'il avait demandé aux responsables de son ministère d'organiser des "exercices de simulation" sur la situation qui prévaudrait au cas où Israël se retirerait de tous les territoires palestiniens.
Suspendues depuis l'offensive israélienne sur Gaza fin 2008, les négociations directes de paix ont repris jeudi dernier à Washington, sous parrainage américain, entre le Premier ministre Benjamin Netanyahu et le président de l'Autorité palestinienne Mahmoud Abbas.
L'objectif de ces discussions est d'élaborer dans un délai d'un an un "accord-cadre" -avec des arrangements "intermédiaires"- fixant les grandes lignes d'un règlement final du conflit. Un tel règlement permettrait la création d'un Etat palestinien et l'établissement d'une "paix durable" au Proche-Orient.
Dans le cadre de cette reprise du dialogue, MM. Netanyahu et Abbas doivent se retrouver les 14 et 15 septembre dans la station balnéaire égyptienne de Charm el Cheikh, en présence de la secrétaire d'Etat Hillary Clinton et de l'émissaire spécial américain pour le Proche-Orient George Mitchell.
Le ministre israélien des Affaires étrangères Avigdor Lieberman a affirmé dimanche qu'il ne croyait pas à la possibilité de parvenir à un accord avec l'Autorité palestinienne "ni l'an prochain ni durant la prochaine génération"."La signature d'un accord de paix qui signifierait la fin du conflit et des revendications...
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