«Saïd Akl» immortalisé dans le bronze par Antoine Berberi.(DR)
Exposition thématique à la galerie Surface libre* autour des «Portraits, bustes et têtes». Un florilège d'œuvres de 39 peintres et 11 sculpteurs se déploie dans cette salle d'exposition cernée d'un jardin, lui-même ponctué de
sculptures.
S'y côtoient, dans une perspective de démocratisation des exhibitions, dixit le galeriste Abdallah Dadour, des peintures et des sculptures d'artistes connus et d'autres de talents en friche.
Ce qui donne, bien évidemment, une grande diversité de styles et de factures. Parmi les pièces intéressantes de cette exposition collective, on relève plusieurs sculptures d'Alfred Basbous, qui savait, en quelques coups de burin, transcrire les émotions et les sentiments sur ses visages de pierre.
Les doubles faces en pierre bicolores de Rodolphe
Chamoun.
La puissance du bronze patiné chez Antoine Berberi, qui décline le réalisme expressif, pour reproduire la tête du penseur et poète Saïd Akl, ou encore celle de l'ancien Premier ministre martyr Rafic Hariri et l'expressionnisme pour une silhouette humaine travaillée par Empreintes (titre de l'œuvre).
Toujours en bronze, deux figures monumentales et hautement surréalistes de Raffi Tokatlian font face aux romantiques figurines féminines de Gulène Der Boghossian.
Tandis que dans un registre débutant et inaccoutumé émergent de l'argile les visages caricaturaux d'Oussama Saliby.
Côté peintures, outre un étonnant portrait «classique» de Saëb Salam réalisé par Zohrab - sans doute une œuvre d'avant le style Zohrab -, on signale une petite huile sur toile représentant un visage de Garçonnet signée Omar Onsi et un assez éloquent portrait d'une jeune femme de dos brossé par le galeriste, architecte et peintre à ses heures perdues Abdallah Dadour.
Et parmi les toiles de la jeune génération à signaler: les portraits en techniques mixtes d'Emma Harake, les faces épurées de Maher Kouraytem ou encore la tête criante d'Élias el-Wassy...
Jusqu'au 30 juin.
* Jal el-Dib, jardin Dadour. Horaires d'ouverture : du lundi au samedi, de 10h00 à 19h00.
sculptures.
S'y côtoient, dans une perspective de démocratisation des exhibitions, dixit le galeriste Abdallah Dadour, des peintures et des sculptures d'artistes connus et d'autres de talents en friche.
Ce qui donne, bien évidemment, une grande diversité de styles et de factures. Parmi les pièces intéressantes de cette exposition collective, on relève plusieurs sculptures d'Alfred Basbous, qui savait, en quelques coups de burin, transcrire les émotions et les sentiments sur ses visages de pierre.
Les doubles faces en pierre bicolores de Rodolphe
Chamoun.
La puissance du bronze patiné chez Antoine Berberi, qui décline le réalisme expressif, pour reproduire la tête du penseur et poète Saïd Akl, ou encore celle de l'ancien Premier ministre martyr Rafic Hariri et l'expressionnisme pour une silhouette humaine travaillée par Empreintes (titre de l'œuvre).
Toujours en bronze, deux figures monumentales et hautement surréalistes de Raffi Tokatlian font face aux romantiques figurines féminines de Gulène Der Boghossian.
Tandis que dans un registre débutant et inaccoutumé émergent de l'argile les visages caricaturaux d'Oussama Saliby.
Côté peintures, outre un étonnant portrait «classique» de Saëb Salam réalisé par Zohrab - sans doute une œuvre d'avant le style Zohrab -, on signale une petite huile sur toile représentant un visage de Garçonnet signée Omar Onsi et un assez éloquent portrait d'une jeune femme de dos brossé par le galeriste, architecte et peintre à ses heures perdues Abdallah Dadour.
Et parmi les toiles de la jeune génération à signaler: les portraits en techniques mixtes d'Emma Harake, les faces épurées de Maher Kouraytem ou encore la tête criante d'Élias el-Wassy...
Jusqu'au 30 juin.
* Jal el-Dib, jardin Dadour. Horaires d'ouverture : du lundi au samedi, de 10h00 à 19h00.
Exposition thématique à la galerie Surface libre* autour des «Portraits, bustes et têtes». Un florilège d'œuvres de 39 peintres et 11 sculpteurs se déploie dans cette salle d'exposition cernée d'un jardin, lui-même ponctué de sculptures. S'y côtoient, dans une perspective de démocratisation des exhibitions, dixit...
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