Florilège des petites phrases recueillies hier en Afrique du Sud, à deux jours du début du Mondial 2010 de football :
Colérique
« Si j'étais américain, je marcherais sur les orteils de Rooney. »
Terry Butcher, ancien capitaine de l'Angleterre, qui redoute la propension de son jeune compatriote à perdre son sang-froid.
Entre hommes
« Nous sommes bien entre nous, nous sommes même très bien. »
Le Mexicain Guillermo Franco, répondant en conférence de presse à une question sur l'éventuelle venue des femmes des joueurs, en enlaçant son coéquipier Carlos Salcido.
Confiance
« Pas si mais quand. »
Le Sud-Africain Matthew Booth, interrogé sur les ambitions de son équipe si elle atteignait les 8es de finale.
Pas un Bleu
« Ce n'est pas la première fois que nous arbitrons un match. Nous sommes habitués à cette ambiance. On y va simplement et on fait notre boulot. Rien d'extraordinaire. »
L'arbitre ouzbek Ravshan Irmatov, désigné pour diriger le match d'ouverture vendredi.
Précis
« Nous allons gagner 2-0. »
Le prêtre grec-orthodoxe Georges Vakonakis, dont l'église se trouve à deux pas du stade Nelson Mandela Bay à Port Elizabeth, où la Grèce affronte la Corée du Sud samedi.
Cool
« Même si nous perdons, la vie continue, et le jeu continue. Nous n'allons pas en mourir. C'est le genre d'état d'esprit qui va nous permettre d'aller loin. »
Le Japonais Keisuke Honda, dont l'équipe vient d'enregistrer quatre défaites d'affilée en préparation.
Meilleur
« Julio est le meilleur gardien du monde actuellement, pour ce qu'il a fait et ce qu'il a gagné. »
Gomes, la doublure du gardien titulaire du Brésil Julio Cesar gêné par des douleurs dorsales.
Potes
« Le groupe vit bien, mais on n'est pas obligés d'être les meilleurs amis du monde. Si on arrive à bien jouer ensemble, il n'y aura pas de soucis. »
Le milieu de terrain de l'équipe de France Jérémy Toulalan.
Vigneron
« Quand on fait du vin, le raisin n'est pas toujours le même. La première fois qu'il m'a dit cela, j'ai pensé qu'il parlait de vin. Ensuite, j'ai compris qu'il essayait de me dire quelque chose sur le football. »
Le sélectionneur américain Bob Bradley, admirateur de la capacité d'adaptation du sélectionneur italien de l'Angleterre, Fabio Capello.
Viril
« Le football, ce n'est pas les échecs, on y joue des coudes de temps en temps. »
Franz Beckenbauer, figure du football allemand, à propos des nombreuses absences sur blessures.
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