Dimanche à Damas, le président syrien Bachar el-Assad et le chef de la diplomatie turque Ahmet Davutoglu ont discuté d'une reprise des négociations indirectes. Le ministre turc avait alors affirmé la volonté de son pays d'« aller de l'avant pour réaliser la paix ».
Cinq jours auparavant, M. Davutoglu avait affirmé au Caire que la Turquie était prête à reprendre sa médiation entre Israël et la Syrie s'il y avait « une volonté politique des deux côtés ». D'autre part, le Premier ministre turc a estimé hier que d'« autres sanctions contre l'Iran ne produiront aucun résultat », en parlant du programme nucléaire de Téhéran. La Turquie plaide pour un règlement du dossier nucléaire iranien par le dialogue, estimant que des sanctions économiques ou une action militaire auraient des conséquences lourdes pour toute la région.
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