La volonté exprimée par le président syrien, Bachar el-Assad, de visiter le Liban a surpris les dirigeants libanais qui ne s'y attendaient pas, selon leurs visiteurs. Ils ne pensaient pas, en effet, que le président Assad souhaitait venir actuellement à Beyrouth pour qu'une invitation en ce sens lui soit adressée.
De toute façon, ils estiment qu'il est possible, dès que le timing d'une telle visite sera propice, de lui adresser une invitation par l'intermédiaire du palais Bustros. Le chef de la diplomatie, Ali Chami, pourra se rendre à Damas et lui transmettre l'invitation au nom du président Michel Sleiman.
Selon les mêmes sources, les responsables libanais sont d'accord avec le dirigeant syrien sur le point selon lequel cette visite aura des répercussions positives et pratiques si elle intervient après le règlement d'une série de dossiers en suspens entre les deux pays, tels que la délimitation des frontières, requise par le Conseil de sécurité de l'ONU, et le lancement des chantiers techniques pour démarrer ce processus que Damas souhaite commencer à partir du Liban-Nord et non pas du Liban-Sud.
Deux autres dossiers en suspens : ceux des personnes portées disparues et du contrôle des frontières, celui-ci étant notamment souhaité par les Nations unies afin qu'un terme soit mis à l'entrée illicite des armes au Liban. L'importance de ce dossier réside dans le fait que son application pourrait mettre en pièces les allégations israéliennes qui accusent régulièrement Damas de faciliter l'acheminement d'armes iraniennes au Hezbollah.
Selon les mêmes sources, le dossier le plus facile à régler est celui de la fermeture des camps palestiniens de Naamé et de Kossaya dans la mesure où le FPLP-CG qui les dirige obéit aux ordres de Damas, de l'aveu même du président de l'Autorité palestinienne, Mahmoud Abbas, lors de sa dernière visite à Beyrouth.
De toute façon, ils estiment qu'il est possible, dès que le timing d'une telle visite sera propice, de lui adresser une invitation par l'intermédiaire du palais Bustros. Le chef de la diplomatie, Ali Chami, pourra se rendre à Damas et lui transmettre l'invitation au nom du président Michel Sleiman.
Selon les mêmes sources, les responsables libanais sont d'accord avec le dirigeant syrien sur le point selon lequel cette visite aura des répercussions positives et pratiques si elle intervient après le règlement d'une série de dossiers en suspens entre les deux pays, tels que la délimitation des frontières, requise par le Conseil de sécurité de l'ONU, et le lancement des chantiers techniques pour démarrer ce processus que Damas souhaite commencer à partir du Liban-Nord et non pas du Liban-Sud.
Deux autres dossiers en suspens : ceux des personnes portées disparues et du contrôle des frontières, celui-ci étant notamment souhaité par les Nations unies afin qu'un terme soit mis à l'entrée illicite des armes au Liban. L'importance de ce dossier réside dans le fait que son application pourrait mettre en pièces les allégations israéliennes qui accusent régulièrement Damas de faciliter l'acheminement d'armes iraniennes au Hezbollah.
Selon les mêmes sources, le dossier le plus facile à régler est celui de la fermeture des camps palestiniens de Naamé et de Kossaya dans la mesure où le FPLP-CG qui les dirige obéit aux ordres de Damas, de l'aveu même du président de l'Autorité palestinienne, Mahmoud Abbas, lors de sa dernière visite à Beyrouth.
La volonté exprimée par le président syrien, Bachar el-Assad, de visiter le Liban a surpris les dirigeants libanais qui ne s'y attendaient pas, selon leurs visiteurs. Ils ne pensaient pas, en effet, que le président Assad souhaitait venir actuellement à Beyrouth pour qu'une invitation en ce sens lui soit adressée.De toute façon, ils...
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