Créée en 2003, la quatrième édition du festival biennal « Proche-Orient : que peut le cinéma ? » se tiendra du 2 au 13 décembre au cinéma « Les 3 Luxembourg », Paris 6e.
Fidèle à son engagement en faveur de la paix, le festival place le cinéma au cœur de sa démarche d'information, de sensibilisation et de dialogue. Treize jours, douze thèmes, 50 films inédits en France : courts, longs-métrages de fiction et documentaires avec le regard de ceux qui sont de « là-bas ». Des films d'Israël, de Palestine, du Liban, d'Irak et, cette année, d'Iran. Pour tenter, à armes égales, de changer l'image stéréotypée que nous renvoient les médias sur la région et ses conflits.
La programmation s'articule autour des grands thèmes qui seront débattus : Jérusalem, Gaza, Israël, l'exil, la colonisation, le Proche-Orient, les États-Unis et la guerre en Irak, les effets de la guerre en Irak, le Liban, l'Iran, les femmes au Proche-Orient. Organisés en partenariat avec le Monde diplomatique, ces débats seront animés par des spécialistes de la région et en présence des cinéastes. En ouverture du festival et en avant-première, Ajami de Scandar Copti et Yaron Shani, en présence de Leila Shahid, ancienne représentante de l'OLP en France, Dominique Vidal et Michel Warchawski. Quant à la clôture, et toujours en avant-première, Les chats persans de Bahman Gobhadi. À noter également, deux projections rares : Iraq for Sale : the War Profiteers de Robert Greenwald et No End In Sight de Charles Ferguson.
Également au programme, trois films sur le thème du chiisme libanais.
Quelques instants avec l'imam, Les Larmes de Hussein, de Michel Tabet. Chaque année, les habitants de Nabatieh, au Liban, commémorent le martyre de l'imam Hussein, tué en 680 ap. J-C. Une exploration du parallèle entre guerre et rituel dans cette ville importante de l'espace religieux libanais.
Majlis féminin, de Michel Tabet (France - 2008 - DVcam). Un document inédit sur un rituel féminin. Dans une maison bourgeoise, les femmes se réunissent tous les jours et pleurent l'imam et les combattants tombés avec lui sur le champ de bataille.
Fidèle à son engagement en faveur de la paix, le festival place le cinéma au cœur de sa démarche d'information, de sensibilisation et de dialogue. Treize jours, douze thèmes, 50 films inédits en France : courts, longs-métrages de fiction et documentaires avec le regard de ceux qui sont de « là-bas ». Des films d'Israël, de Palestine, du Liban, d'Irak et, cette année, d'Iran. Pour tenter, à armes égales, de changer l'image stéréotypée que nous renvoient les médias sur la région et ses conflits.
La programmation s'articule autour des grands thèmes qui seront débattus : Jérusalem, Gaza, Israël, l'exil, la colonisation, le Proche-Orient, les États-Unis et la guerre en Irak, les effets de la guerre en Irak, le Liban, l'Iran, les femmes au Proche-Orient. Organisés en partenariat avec le Monde diplomatique, ces débats seront animés par des spécialistes de la région et en présence des cinéastes. En ouverture du festival et en avant-première, Ajami de Scandar Copti et Yaron Shani, en présence de Leila Shahid, ancienne représentante de l'OLP en France, Dominique Vidal et Michel Warchawski. Quant à la clôture, et toujours en avant-première, Les chats persans de Bahman Gobhadi. À noter également, deux projections rares : Iraq for Sale : the War Profiteers de Robert Greenwald et No End In Sight de Charles Ferguson.
Également au programme, trois films sur le thème du chiisme libanais.
Quelques instants avec l'imam, Les Larmes de Hussein, de Michel Tabet. Chaque année, les habitants de Nabatieh, au Liban, commémorent le martyre de l'imam Hussein, tué en 680 ap. J-C. Une exploration du parallèle entre guerre et rituel dans cette ville importante de l'espace religieux libanais.
Majlis féminin, de Michel Tabet (France - 2008 - DVcam). Un document inédit sur un rituel féminin. Dans une maison bourgeoise, les femmes se réunissent tous les jours et pleurent l'imam et les combattants tombés avec lui sur le champ de bataille.
Créée en 2003, la quatrième édition du festival biennal « Proche-Orient : que peut le cinéma ? » se tiendra du 2 au 13 décembre au cinéma « Les 3 Luxembourg », Paris 6e.Fidèle à son engagement en faveur de la paix, le festival place le cinéma au...
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