Robert Fisk pris dans les filets afghans
« Just shoot him. » C'est l'une des menaces les plus célèbres qui aient été formulées par l'acteur américain John Malkovitch à l'encontre du correspondant au Proche-Orient du quotidien britannique The Independent, basé à Beyrouth, Robert Fisk, qui avait désigné, dans plusieurs articles, la non-résolution du conflit israélo-palestinien comme l'une des principales racines du terrorisme. C'est fait. Il est pris dans les filets de la belle afghane Nelofer Pazira, vedette du film Kandahar, réalisé par l'Iranien Mohsen Makhmalbaf en 2001 qui met au grand jour la situation dramatique de l'Afghanistan. Et c'est aujourd'hui à Baalbeck, dans l'annexe de l'hôtel Palmyra, que Fisk et Nelofer (cheveux noirs et immenses yeux bleus) vont célébrer leur union. Hier, le flamboyant journaliste anglais, auteur de Liban, nation martyre et de La grande guerre pour la civilisation, détenteur du David Watt Memorial Award pour sa couverture du Proche-Orient et d'Amnesty International pour ses reportages en Serbie pendant les bombardements de l'OTAN, a convié à déjeuner au restaurant Abdel Wahab sa belle-famille et ses amis venus spécialement pour l'occasion du Canada, de Hollande, d'Irlande et des États-Unis. Étaient également présents : Marwan et Mona Iskandar...
Les premiers pas... en Élie Saab
Couturier des stars de la red-carpet hollywoodienne et coqueluche de la jet-set croisant à Miami Beach et à Dubaï, Élie Saab est aussi le couturier favori des jeunes Françaises. Pour preuve, après Anouchka Alain Delon, Johanna, 18 ans, fille de la comédienne et scénariste Charlotte de Turckheim, a jeté son dévolu sur une glamourissime robe du créateur libanais qu'elle portera à l'hôtel de Crillon, à Paris, le samedi 28 novembre lors du prestigieux Bal des débutantes.
La réputation d'Élie Saab fait désormais partie du gotha et son appartement parisien, à l'instar de celui d'Elton John, de Donna Karan, Carole King, Ferrucio Ferragamo, ou Leonard Lauder, s'étale sur trois pages dans Architectural Digest du mois de décembre 2009. La maison d'une esthétique moderne et sophistiquée a été conçue par le talentueux architecte et interior designer libanais Chakib Richani.
Let it be... Jewelry
Après l'Art House Damas, c'est le Musée Mouawad qu'a choisi Wadih Sayegh pour sortir son big show : l'expo-vente des bijoux dessinés par 22 architectes, peintres et designers arabes, dont la grosse pointure Zaha Hadid et les Libanais, Amine el-Bacha, Simone Korsremelli, Samir Rebeiz, Rana Salam, Nada Debs et Toufic el-Zein. Unique, différente, originale, la manifestation prévue du 24 au 28 novembre va attirer du monde, particulièrement les femmes qui tombent in love devant les bijoux. Déjà pour le jour du grand opening, Elham Raphaël (au cœur de l'action, puisque la Banque libano-française sponsorise l'événement) a convié une vingtaine de dames, dont Mona Hraoui et Hoda Siniora à déjeuner au Balthus avant de mettre le cap sur le Musée. Le 26 au soir, Razek et la hyperspeed Maya Maamarbachi (hou là, là, elle court tout le temps) concoctent pour leurs amis et les artistes une fiesta à la « La Table » de Kamal Mouzawak...
« Just shoot him. » C'est l'une des menaces les plus célèbres qui aient été formulées par l'acteur américain John Malkovitch à l'encontre du correspondant au Proche-Orient du quotidien britannique The Independent, basé à Beyrouth, Robert Fisk, qui avait désigné, dans plusieurs articles, la non-résolution du conflit israélo-palestinien comme l'une des principales racines du terrorisme. C'est fait. Il est pris dans les filets de la belle afghane Nelofer Pazira, vedette du film Kandahar, réalisé par l'Iranien Mohsen Makhmalbaf en 2001 qui met au grand jour la situation dramatique de l'Afghanistan. Et c'est aujourd'hui à Baalbeck, dans l'annexe de l'hôtel Palmyra, que Fisk et Nelofer (cheveux noirs et immenses yeux bleus) vont célébrer leur union. Hier, le flamboyant journaliste anglais, auteur de Liban, nation martyre et de La grande guerre pour la civilisation, détenteur du David Watt Memorial Award pour sa couverture du Proche-Orient et d'Amnesty International pour ses reportages en Serbie pendant les bombardements de l'OTAN, a convié à déjeuner au restaurant Abdel Wahab sa belle-famille et ses amis venus spécialement pour l'occasion du Canada, de Hollande, d'Irlande et des États-Unis. Étaient également présents : Marwan et Mona Iskandar...
Les premiers pas... en Élie Saab
Couturier des stars de la red-carpet hollywoodienne et coqueluche de la jet-set croisant à Miami Beach et à Dubaï, Élie Saab est aussi le couturier favori des jeunes Françaises. Pour preuve, après Anouchka Alain Delon, Johanna, 18 ans, fille de la comédienne et scénariste Charlotte de Turckheim, a jeté son dévolu sur une glamourissime robe du créateur libanais qu'elle portera à l'hôtel de Crillon, à Paris, le samedi 28 novembre lors du prestigieux Bal des débutantes.
La réputation d'Élie Saab fait désormais partie du gotha et son appartement parisien, à l'instar de celui d'Elton John, de Donna Karan, Carole King, Ferrucio Ferragamo, ou Leonard Lauder, s'étale sur trois pages dans Architectural Digest du mois de décembre 2009. La maison d'une esthétique moderne et sophistiquée a été conçue par le talentueux architecte et interior designer libanais Chakib Richani.
Let it be... Jewelry
Après l'Art House Damas, c'est le Musée Mouawad qu'a choisi Wadih Sayegh pour sortir son big show : l'expo-vente des bijoux dessinés par 22 architectes, peintres et designers arabes, dont la grosse pointure Zaha Hadid et les Libanais, Amine el-Bacha, Simone Korsremelli, Samir Rebeiz, Rana Salam, Nada Debs et Toufic el-Zein. Unique, différente, originale, la manifestation prévue du 24 au 28 novembre va attirer du monde, particulièrement les femmes qui tombent in love devant les bijoux. Déjà pour le jour du grand opening, Elham Raphaël (au cœur de l'action, puisque la Banque libano-française sponsorise l'événement) a convié une vingtaine de dames, dont Mona Hraoui et Hoda Siniora à déjeuner au Balthus avant de mettre le cap sur le Musée. Le 26 au soir, Razek et la hyperspeed Maya Maamarbachi (hou là, là, elle court tout le temps) concoctent pour leurs amis et les artistes une fiesta à la « La Table » de Kamal Mouzawak...
Robert Fisk pris dans les filets afghans « Just shoot him. » C'est l'une des menaces les plus célèbres qui aient été formulées par l'acteur américain John Malkovitch à l'encontre du correspondant au Proche-Orient du quotidien britannique The Independent, basé à Beyrouth, Robert Fisk, qui avait...
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