Une toile de Zohrab...
On parle bien entendu des deux récentes expositions des œuvres de Zohrab, un vétéran appliqué dans l'art de remplir les espaces blancs, et de Missak Terzian, coloriste sans thématique aux éclaboussures semi-abstraites.
À la galerie les Cimaises (Holiday Beach, Nahr el-Kalb) et jusqu'au 29 novembre, Zohrab présente, sous le titre « Love » (Amour), huile, aquarelle, acrylique, pastel, gouache, fusain et sanguine.
Monde parfois de carte postale vu à travers les nervures d'un vitrail, charmant et tendre, où personnages et paysages aux frontières des images superléchées se fondent en toute douce et naïve harmonie. Traits fins, vaporeux ou marqués, fond brumeux ou en strates superposées, regard de verre fixant un horizon lointain, pose un peu grandiloquente ou statufiée, habits laborieusement reproduits, ces personnages et ces paysages ont certes quelque chose de rigide et d'appliqué, mais diffusent toutefois l'amour et l'attachement à la vie.
Pour Missak Terzian, à la galerie Alwane (Saifi Village), une production picturale signée 2008-2009, avec pour titre explicite : «Vibrations».
Vibrations des couleurs pour ces acryliques, huiles, graphites, collages et pastels. Éclaboussures et taches aux couleurs vives se mélangent et fusionnent dans un arbitraire négligemment orchestré et canalisé.
De l'aveu même du peintre, cette palette agitée et aux mouvements désordonnés est «un testament visuel de l'âme, du corps et de l'esprit. Avec une approche expressionniste semi-abstraite, l'exagération et la distorsion déclenchent une recherche continue d'une abstraction inconnue...»
À la galerie les Cimaises (Holiday Beach, Nahr el-Kalb) et jusqu'au 29 novembre, Zohrab présente, sous le titre « Love » (Amour), huile, aquarelle, acrylique, pastel, gouache, fusain et sanguine.
Monde parfois de carte postale vu à travers les nervures d'un vitrail, charmant et tendre, où personnages et paysages aux frontières des images superléchées se fondent en toute douce et naïve harmonie. Traits fins, vaporeux ou marqués, fond brumeux ou en strates superposées, regard de verre fixant un horizon lointain, pose un peu grandiloquente ou statufiée, habits laborieusement reproduits, ces personnages et ces paysages ont certes quelque chose de rigide et d'appliqué, mais diffusent toutefois l'amour et l'attachement à la vie.
Pour Missak Terzian, à la galerie Alwane (Saifi Village), une production picturale signée 2008-2009, avec pour titre explicite : «Vibrations».
Vibrations des couleurs pour ces acryliques, huiles, graphites, collages et pastels. Éclaboussures et taches aux couleurs vives se mélangent et fusionnent dans un arbitraire négligemment orchestré et canalisé.
De l'aveu même du peintre, cette palette agitée et aux mouvements désordonnés est «un testament visuel de l'âme, du corps et de l'esprit. Avec une approche expressionniste semi-abstraite, l'exagération et la distorsion déclenchent une recherche continue d'une abstraction inconnue...»
On parle bien entendu des deux récentes expositions des œuvres de Zohrab, un vétéran appliqué dans l'art de remplir les espaces blancs, et de Missak Terzian, coloriste sans thématique aux éclaboussures semi-abstraites.À la galerie les Cimaises (Holiday Beach, Nahr el-Kalb) et jusqu'au 29 novembre, Zohrab présente, sous...
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