Abboud chez Chatah

Le ministre des Finances, Mohammad Chatah, a conféré hier avec le président de l'Association des industriels, Fadi Abboud. Ce dernier a évoqué avec son interlocuteur le sujet de l'impôt sur les exportations, déplorant le fait que le Liban soit le seul pays parmi les 17 pays cosignataires d'accords de libre-échange à appliquer encore cet impôt. Les discussions ont également porté sur la possibilité de subventionner le capital opérationnel des firmes industrielles.

Mouawad :« Les exportations de joailleries représentent la moitié des exportations industrielles »

Le président du syndicat des joailliers, Walid Mouawad, a déclaré que la crise financière internationale a entraîné une forte demande sur l'or, qui a démontré une fois de plus que ce métal est un placement de refuge pendant les moments difficiles. 
Dans une déclaration à l'agence al-Markaziya, M. Mouawad a souligné que le Liban importe près de 30 tonnes de lingots d'or et réexporte de l'or travaillé. Il a estimé que le volume des exportations de joailleries représente la moitié de celui des exportations industrielles au Liban. Il s'est enfin félicité des législations qui régissent la profession, rappelant que l'or est exempté de TVA et de taxes douanières.

ART : Pas d'enchevêtrement des prérogatives

Dans un communiqué distribué hier à la presse, l'Autorité de régulation des télécoms (ART) a souligné que sa relation avec le ministère des Télécoms est régie par les dispositions de loi 431 sur les télécoms. ART a insisté sur le fait qu'il n'y a pas d'enchevêtrement entre ses prérogatives et celles du ministère. Elle a mis l'accent sur la nécessité que les rôles des deux entités soient complémentaires dans l'intérêt du développement du secteur des télécoms.

APIC soutient l'action de répression du ministère de l'Économie

Le Rassemblement des compagnies importatrices de pétrole (APIC) a apporté son soutien à l'action menée par le ministère de l'Économie dans sa lutte contre l'essence frelatée. 
APIC a invité les stations-service à s'assurer de la qualité de l'essence qu'elles distribuent, rappelant que les camions-citernes des compagnies importatrices sont contrôlés.