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La lente agonie des villages chrétiens de la bande frontalière

La lente agonie des villages chrétiens de la bande frontalière

Un horrible sentiment d'amertume et une perte totale d'espoir. Neuf ans après le retrait israélien de la bande frontalière, et presque trois ans après la guerre entre le Hezbollah et Israël, les chrétiens des villages  frontaliers du Liban-Sud se sentent toujours totalement abandonnés par l'État libanais.
Dans les quatre villages exclusivement chrétiens du caza de Bint Jbeil (Debl, Aïn Ebel, Rmeich et Kaouzah), chacun a une histoire triste à raconter. Dans ces villages majoritairement maronites noyés dans un océan de localités chiites, les habitants désabusés appréhendent l'avenir et se sentent des laissés-pour-compte, surtout quand ils comparent la situation de leurs villages à celles des villages voisins qui - relativement - grouillent de vie.
Dans ce dossier, « L'Orient-Le Jour » présente un état des lieux sur les habitants chrétiens de l'ex-bande frontalière.
Un horrible sentiment d'amertume et une perte totale d'espoir. Neuf ans après le retrait israélien de la bande frontalière, et presque trois ans après la guerre entre le Hezbollah et Israël, les chrétiens des villages  frontaliers du Liban-Sud se sentent toujours totalement abandonnés par l'État libanais. Dans les quatre...