L'Afrique, où la croissance devrait être de 2 % en 2009 dans un contexte de crise mondiale, offre des opportunités d'investissements, à condition que les dirigeants sachent les concrétiser, ont estimé hier des participants au Forum économique mondial sur l'Afrique.
Le continent noir va connaître une croissance d'environ 2 % en 2009, après cinq années de croissance supérieure à 5 %, selon le Fonds monétaire international (FMI). Ces prévisions contrastent avec la récession dans de nombreux pays riches.
« L'Afrique offre de nombreuses opportunités (...). Le défi revient aux dirigeants : sommes-nous capables de voir ces occasions, sommes-nous capables d'utiliser les structures appropriées et d'en tirer avantage ? » a estimé le président sud-africain Jacob Zuma hier lors de la clôture du forum qui a duré trois jours au Cap, la capitale parlementaire de l'Afrique du Sud.
Car les problèmes de gouvernance et d'infrastructures sont notamment un frein au développement, ont reconnu les participants au Forum économique mondial (WEF) sur l'Afrique.
« Nous avons besoin de tribunaux sur qui l'on puisse compter, un régime fiscal stable », a estimé Graham Mackay, directeur de l'entreprise SABMiller basée à Londres, qui construit actuellement dix brasseries dans le monde, dont quatre en Afrique.
« Nous sommes capables de construire des stades et faire des choses incroyables. Si nous en sommes capables, cela veut dire que nous pouvons aussi construire des écoles et des hôpitaux », a aussi déclaré la directrice de la banque sud-africaine Absa, Maria Ramos, un an avant le coup d'envoi de la Coupe du monde de football en Afrique du Sud.
« Nous avons des capacités incroyables dans notre secteur privé, non seulement en Afrique du Sud, mais sur l'ensemble du continent. La seule chose qui nous freine, c'est notre propre incapacité à les concrétiser », a-t-elle souligné.
Plus de 800 personnes, dont de nombreux investisseurs, ont participé au WEF, un forum annuel. Ils ont durant trois jours discuté des conséquences de la crise économique mondiale et des solutions à apporter en Afrique pour y faire face.
Le continent noir va connaître une croissance d'environ 2 % en 2009, après cinq années de croissance supérieure à 5 %, selon le Fonds monétaire international (FMI). Ces prévisions contrastent avec la récession dans de nombreux pays riches.
« L'Afrique offre de nombreuses opportunités (...). Le défi revient aux dirigeants : sommes-nous capables de voir ces occasions, sommes-nous capables d'utiliser les structures appropriées et d'en tirer avantage ? » a estimé le président sud-africain Jacob Zuma hier lors de la clôture du forum qui a duré trois jours au Cap, la capitale parlementaire de l'Afrique du Sud.
Car les problèmes de gouvernance et d'infrastructures sont notamment un frein au développement, ont reconnu les participants au Forum économique mondial (WEF) sur l'Afrique.
« Nous avons besoin de tribunaux sur qui l'on puisse compter, un régime fiscal stable », a estimé Graham Mackay, directeur de l'entreprise SABMiller basée à Londres, qui construit actuellement dix brasseries dans le monde, dont quatre en Afrique.
« Nous sommes capables de construire des stades et faire des choses incroyables. Si nous en sommes capables, cela veut dire que nous pouvons aussi construire des écoles et des hôpitaux », a aussi déclaré la directrice de la banque sud-africaine Absa, Maria Ramos, un an avant le coup d'envoi de la Coupe du monde de football en Afrique du Sud.
« Nous avons des capacités incroyables dans notre secteur privé, non seulement en Afrique du Sud, mais sur l'ensemble du continent. La seule chose qui nous freine, c'est notre propre incapacité à les concrétiser », a-t-elle souligné.
Plus de 800 personnes, dont de nombreux investisseurs, ont participé au WEF, un forum annuel. Ils ont durant trois jours discuté des conséquences de la crise économique mondiale et des solutions à apporter en Afrique pour y faire face.
L'Afrique, où la croissance devrait être de 2 % en 2009 dans un contexte de crise mondiale, offre des opportunités d'investissements, à condition que les dirigeants sachent les concrétiser, ont estimé hier des participants au Forum économique mondial sur l'Afrique.Le continent noir va connaître une croissance d'environ...
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