Plusieurs ministres israéliens ont mis en garde hier contre une possible victoire électorale du Hezbollah qui permettrait à l'Iran d'étendre son pouvoir au Liban.
« Si le Hezbollah remporte les élections, cela va créer une nouvelle entité iranienne au Moyen-Orient après celle du Hamas » dans la bande de Gaza, a affirmé aux journalistes le ministre des Finances Youval Steinitz. « L'Iran est en train de tenter de prendre le contrôle du Liban, ce qui constitue un développement très négatif », a ajouté M. Steinitz, un proche du Premier ministre Benjamin Netanyahu.
« Cette menace iranienne gagne du terrain et nous contraint, avec les pays arabes modérés et les Etats-Unis, à agir », a poursuivi le ministre des Finances, membre du Likoud, sans autre précision.
Le ministre de l'Intérieur et chef du parti ultraorthodoxe Shass, Eli Yishaï, a pour sa part estimé que si le Hezbollah « contrôle la majorité au Parlement, cela signifiera que le Liban est devenu un État terroriste ».
Le ministre sans portefeuille Yossi Peled, un ancien général commandant de la région nord, qui comprend la frontière avec le Liban, a lui aussi affirmé à la radio que le Hezbollah « constitue la tête de pont de l'Iran au Liban ».
Le 24 mai, le chef de la diplomatie israélienne Avigdor Lieberman avait appelé la communauté internationale à lancer un mandat d'arrêt international contre le chef du Hezbollah Hassan Nasrallah pour son rôle présumé dans le meurtre de l'ancien Premier ministre libanais Rafic Hariri en 2005.
Le ministre des Transports Israël Katz, un proche de M. Netanyahu, avait appelé en avril à l'élimination de Hassan Nasrallah, estimant qu'il « méritait la mort ».
« Si le Hezbollah remporte les élections, cela va créer une nouvelle entité iranienne au Moyen-Orient après celle du Hamas » dans la bande de Gaza, a affirmé aux journalistes le ministre des Finances Youval Steinitz. « L'Iran est en train de tenter de prendre le contrôle du Liban, ce qui constitue un développement très négatif », a ajouté M. Steinitz, un proche du Premier ministre Benjamin Netanyahu.
« Cette menace iranienne gagne du terrain et nous contraint, avec les pays arabes modérés et les Etats-Unis, à agir », a poursuivi le ministre des Finances, membre du Likoud, sans autre précision.
Le ministre de l'Intérieur et chef du parti ultraorthodoxe Shass, Eli Yishaï, a pour sa part estimé que si le Hezbollah « contrôle la majorité au Parlement, cela signifiera que le Liban est devenu un État terroriste ».
Le ministre sans portefeuille Yossi Peled, un ancien général commandant de la région nord, qui comprend la frontière avec le Liban, a lui aussi affirmé à la radio que le Hezbollah « constitue la tête de pont de l'Iran au Liban ».
Le 24 mai, le chef de la diplomatie israélienne Avigdor Lieberman avait appelé la communauté internationale à lancer un mandat d'arrêt international contre le chef du Hezbollah Hassan Nasrallah pour son rôle présumé dans le meurtre de l'ancien Premier ministre libanais Rafic Hariri en 2005.
Le ministre des Transports Israël Katz, un proche de M. Netanyahu, avait appelé en avril à l'élimination de Hassan Nasrallah, estimant qu'il « méritait la mort ».
Plusieurs ministres israéliens ont mis en garde hier contre une possible victoire électorale du Hezbollah qui permettrait à l'Iran d'étendre son pouvoir au Liban.« Si le Hezbollah remporte les élections, cela va créer une nouvelle entité iranienne au Moyen-Orient après celle du Hamas » dans la bande de Gaza,...
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