Marie-Claude Pietragalla se produit le 1er mai au BIEL avec sa nouvelle compagnie dans Carte blanche, où elle présente plusieurs extraits de ses spectacles emblématiques.
Aux Jeux olympiques 2008 de Pékin, féeriques, la danseuse et chorégraphe avait ébloui le public avec une création qui mêle les danses au jeu stupéfiant des images d'animation. Sous l'égide des Jeux de la francophonie 2009 et en collaboration avec la Mission culturelle française, Marie-Claude Pietragalla revient au Liban après dix ans d'absence pour offrir au public libanais un spectacle époustouflant.
C'est en 1973 que Marie-Claude Pietragalla entre à l'École de danse de l'Opéra de Paris. Elle y gravit peu à peu les échelons pour être enfin nommée danseuse étoile en 1990, titre qui lui permet d'interpréter les plus grands rôles classiques et de travailler avec les plus grands chorégraphes, classiques ou contemporains : Roland Petit, Béjart, Maguy Marin, Merce Cunningham et Carolyn Carlson. En 1996, attirée par la chorégraphie, Pietra, comme elle se fait également appeler, crée Corsica, pièce inspirée de l'île de Beauté d'où elle est originaire. En 1998, tout en ayant pour ambition d'y mener une politique artistique très personnelle, elle succède à Roland Petit à la tête du Ballet national de Marseille. Elle y présentera des classiques, Roméo et Juliette et Giselle, dans des versions modernisées. En 1999, très sensible au thème de la femme-artiste exigeante et tourmentée, elle crée Sakountala, qui retrace la vie de Camille Claudel, et signe en 2003 Ni Dieu ni maître, spectacle qui mêle la danse et la musique sur la vie et l'œuvre de Léo Ferré, artiste dont elle admire la poésie et
l'engagement.
Mais en mars 2004, Pietragalla, au caractère tout feu tout flamme, quitte le Ballet national de Marseille tout en qualifiant son expérience de « passionnante, mais décevante dans son issue ». Infatigable, elle créera avec Julien Derouault (chorégraphe associé et danseur) leur propre compagnie indépendante baptisée « La Pietragalla Compagnie, le théâtre du corps ».
Pour toute information, We Group : 01/873873.
Billets en vente dans toutes les branches du Virgin Megastore.
Aux Jeux olympiques 2008 de Pékin, féeriques, la danseuse et chorégraphe avait ébloui le public avec une création qui mêle les danses au jeu stupéfiant des images d'animation. Sous l'égide des Jeux de la francophonie 2009 et en collaboration avec la Mission culturelle française, Marie-Claude Pietragalla revient au Liban après dix ans d'absence pour offrir au public libanais un spectacle époustouflant.
C'est en 1973 que Marie-Claude Pietragalla entre à l'École de danse de l'Opéra de Paris. Elle y gravit peu à peu les échelons pour être enfin nommée danseuse étoile en 1990, titre qui lui permet d'interpréter les plus grands rôles classiques et de travailler avec les plus grands chorégraphes, classiques ou contemporains : Roland Petit, Béjart, Maguy Marin, Merce Cunningham et Carolyn Carlson. En 1996, attirée par la chorégraphie, Pietra, comme elle se fait également appeler, crée Corsica, pièce inspirée de l'île de Beauté d'où elle est originaire. En 1998, tout en ayant pour ambition d'y mener une politique artistique très personnelle, elle succède à Roland Petit à la tête du Ballet national de Marseille. Elle y présentera des classiques, Roméo et Juliette et Giselle, dans des versions modernisées. En 1999, très sensible au thème de la femme-artiste exigeante et tourmentée, elle crée Sakountala, qui retrace la vie de Camille Claudel, et signe en 2003 Ni Dieu ni maître, spectacle qui mêle la danse et la musique sur la vie et l'œuvre de Léo Ferré, artiste dont elle admire la poésie et
l'engagement.
Mais en mars 2004, Pietragalla, au caractère tout feu tout flamme, quitte le Ballet national de Marseille tout en qualifiant son expérience de « passionnante, mais décevante dans son issue ». Infatigable, elle créera avec Julien Derouault (chorégraphe associé et danseur) leur propre compagnie indépendante baptisée « La Pietragalla Compagnie, le théâtre du corps ».
Pour toute information, We Group : 01/873873.
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Marie-Claude Pietragalla se produit le 1er mai au BIEL avec sa nouvelle compagnie dans Carte blanche, où elle présente plusieurs extraits de ses spectacles emblématiques. Aux Jeux olympiques 2008 de Pékin, féeriques, la danseuse et chorégraphe avait ébloui le public avec une création qui mêle les danses au jeu...
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