Le coup d’envoi, à grand renfort de pétards, des fêtes de la San Fermin a eu lieu dimanche dernier, à Pampelune, en Espagne. Au programme de cette fête qui doit durer neuf jours, bals, concerts et corridas. L’un des temps forts de ces fêtes, généralement très arrosées et qui attirent chaque année des centaines de milliers de personnes, dont de nombreux étrangers, est le lâcher quotidien de taureaux dans les rues. L’?«?encierro?» se fait tous les matins à 8h sur un parcours balisé de 825 mètres que les coureurs tentent de dévaler au plus près des bêtes, au risque de chuter ou de se faire encorner. Ces courses ont d’ailleurs fait 14 morts depuis 1911. Pour la seule journée d’hier, sept personnes ont été blessées, dont un Américain qui a brièvement perdu connaissance et un Espagnol encorné lors du quatrième lâcher de taureaux, ont annoncé les organisateurs. Les taureaux de l’élevage tolédan (centre) de El Ventorillo, particulièrement massifs (plus de 700 kilos), ont réalisé le parcours jusqu’aux arènes en environ 2 minutes et 40 secondes, au milieu de la foule des coureurs. Une cavalcade qui donne toujours lieu à des scènes pour le moins impressionnantes.
Le coup d’envoi, à grand renfort de pétards, des fêtes de la San Fermin a eu lieu dimanche dernier, à Pampelune, en Espagne. Au programme de cette fête qui doit durer neuf jours, bals, concerts et corridas. L’un des temps forts de ces fêtes, généralement très arrosées et qui attirent chaque année des centaines de milliers de personnes, dont de nombreux étrangers, est le...
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