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SENTEURS Quand Annick Goutal célèbre l’Orient

À travers trois fragrances mettant chacune en scène une matière première, Annick Goutal livre un coffret en édition limitée à 1 000 exemplaires baptisé « Les orientalistes ». Isabelle Doyen et Camille Goutal cosignent les notes de ces trois essences. « Captivées par l’Orient et les mystères », elles interprètent l’ambre, la myrrhe et l’encens. Dédiés aux femmes comme aux hommes, ces parfums peuvent être portés seuls ou associés. Pour ces deux nez, l’« Ambre Fétiche » offre une « senteur voluptueuse, opulente ». Né de l’alliance d’encens, de labdanum et de styrax, l’arôme est relayé par des effluves sucrés du benjoin et se ponctue de touches d’iris. La vanille et le cuir de Russie viennent envelopper sa robe. Attirées par les senteurs aussi « sensuelles » qu’« affirmées », Camille Goutal et Isabelle Doyen transportent la myrrhe dans le flacon « Myrrhe Ardente ». Composée de benjoin et de fève tonka vanillés, cette fragrance s’unit aux volutes du bois de gaïac et à la cire d’abeille. Ce voyage au « pays des fumées de narguilés », comme elles le qualifient, se prolonge avec une ode à l’encens déclinée sous trois formes. Pour révéler son piquant, l’essence d’encens est introduite par le poivre noir et les baies roses. Le « résinoïde » d’encens se joint à la partition, corsé de cardamome et de noix de muscade. Enfin, l’encens « Vieille église » apporte la dernière note en réchauffant le parfum de « fir balsam » et de lentisque. Réunis dans un coffret de cuir blanc aux lignes sobres reconvertible en boîte à bijoux, les trois parfums monogrammés sont livrés dans leur flacons encriers. Inscrit en lettre capitale sur chaque façade, le nom de chaque senteur apparaît de sa seule initiale. En soulevant le couvercle, on découvre ainsi les lignes « A », « M » et « E ». Chaque fragrance est également disponible individuellement dans le fourreau classique de la maison Goutal. À découvrir dans les boutiques Annick Goutal et sur les corners de la marque, l’écrin « Les orientalistes » est vendu 500 euros tandis que chaque fragrance est proposée à 120 euros les 100 ml.
À travers trois fragrances mettant chacune en scène une matière première, Annick Goutal livre un coffret en édition limitée à 1 000 exemplaires baptisé « Les orientalistes ». Isabelle Doyen et Camille Goutal cosignent les notes de ces trois essences. « Captivées par l’Orient et les mystères », elles interprètent l’ambre, la myrrhe et l’encens. Dédiés aux femmes comme aux...