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Dan Carter « zen » pour sa deuxième Coupe du monde

Le demi d’ouverture néo-zélandais Dan Carter ne ressent absolument aucune pression pour sa deuxième Coupe du monde, bien loin des angoisses qu’il avait éprouvées en 2003. « Je passe de très bons moments aussi bien sur le terrain qu’en dehors », a déclaré le numéro 10 néo-zélandais, fraîchement arrivé au nouveau centre d’entraînement des All Blacks à Aix-en-Provence. « J’apprécie chaque instant passé sous ce maillot. Il est plus facile d’être détendu et de passer de bons moments dans un tel environnement », a-t-il ajouté. « Pour moi, cette Coupe du monde est totalement différente. Je ne savais pas trop à quoi m’attendre en 2003 car je venais juste de passer professionnel. J’avais été un peu dépassé par tout ce contexte », a rappelé l’ouvreur néo-zélandais. À tout juste 25 ans, Carter a souvent confié qu’il ne se sentait pas très à l’aise d’être considéré comme l’enfant prodige du rugby néo-zélandais. « Concurrence sérieuse » En dépit de son discours empreint de modestie, le numéro 10 ne cache pas sa fierté de jouer sous les couleurs des All Blacks. « Je joue pour la Nouvelle-Zélande et cela a toujours été mon rêve. Pour rien au monde je n’abandonnerais ce maillot », a-t-il promis. « Au début, je n’étais pas très à l’aise avec le fait d’être (en photo) partout, mais j’ai fini par m’y habituer », a-t-il ajouté. Carter a été l’artisan de la large victoire contre l’Italie lors du premier match de la compétition de la Nouvelle-Zélande, remporté 76-14 à Marseille, le 8 septembre. Mis au repos pour la rencontre face aux amateurs portugais, l’habituel numéro 10 n’a pas oublié de saluer la performance de son remplaçant de luxe, Nick Evans, auteur de 33 points samedi à Lyon (108-13). « Il y a une concurrence sérieuse au sein de cette équipe et je dois dire qu’il a très bien joué », a-t-il dit, faisant référence à son coéquipier. « Il y a une certaine profondeur de banc et je vais travailler dur pour pouvoir exploiter chaque opportunité sur le terrain », a-t-il ajouté.
Le demi d’ouverture néo-zélandais Dan Carter ne ressent absolument aucune pression pour sa deuxième Coupe du monde, bien loin des angoisses qu’il avait éprouvées en 2003.
« Je passe de très bons moments aussi bien sur le terrain qu’en dehors », a déclaré le numéro 10 néo-zélandais, fraîchement arrivé au nouveau centre d’entraînement des All Blacks à Aix-en-Provence.
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