Mais où s'arrêtera donc la suprématie de Nadal ?
Le n° 1 mondial a confirmé ce week-end qu'il était bien le patron, toutes surfaces confondues. Et Roger Federer, battu une fois de plus par sa bête noire, devra attendre au moins jusqu'au printemps et le rendez-vous de Roland-Garros pour espérer égaler les 14 victoires en grand chelem de Pete Sampras.
Inconsolable face au nouveau triomphe de son adversaire, le Suisse, connu d'habitude pour son sang-froid, n'a pas pu terminer le discours qu'il était invité à prononcer sur le podium.
La gorge nouée, il a été gagné par l'émotion et a cédé aux larmes, sous les yeux troublés de sa femme, tandis que Nadal se mettait à l'applaudir avant de rendre hommage à la légende Federer (deux gestes fair-play qui ont sans aucun doute écœuré davantage l'ex-n° 1 mondial).
Mais que pouvait donc faire Federer pour éviter cette insupportable razzia ? Nada. Pratiquement rien.
Il faut dire que le champion olympique espagnol a rendu une copie impressionnante en s'accrochant durant les quatre premiers sets avant de porter, tel un matador, le coup de grâce lors d'une dernière manche totalement maîtrisée.
La défaite encaissée, la douleur du Suisse était grande. Très grande. Hier Federer pouvait encore se contenter de battre Nadal sur surface synthétique, mais aujourd'hui le torero brille partout. Au fil des mois, l'Espagnol ne laisse plus la moindre miette au Suisse...
Au point que Federer, dépité au moment du discours, semblait se dire que rejoindre, et dépasser, le palmarès de Sampras dans la légende serait désormais pratiquement impossible...
Des larmes d'un vaincu au bord du renoncement moral. Comme si cette troisième défaite consécutive en finale (Roland-Garros et Wimbledon auparavant) face à « Rafa » constituait une passation des pouvoirs...
Le n° 1 mondial a confirmé ce week-end qu'il était bien le patron, toutes surfaces confondues. Et Roger Federer, battu une fois de plus par sa bête noire, devra attendre au moins jusqu'au printemps et le rendez-vous de Roland-Garros pour espérer égaler les 14 victoires en grand chelem de Pete Sampras.
Inconsolable face au nouveau triomphe de son adversaire, le Suisse, connu d'habitude pour son sang-froid, n'a pas pu terminer le discours qu'il était invité à prononcer sur le podium.
La gorge nouée, il a été gagné par l'émotion et a cédé aux larmes, sous les yeux troublés de sa femme, tandis que Nadal se mettait à l'applaudir avant de rendre hommage à la légende Federer (deux gestes fair-play qui ont sans aucun doute écœuré davantage l'ex-n° 1 mondial).
Mais que pouvait donc faire Federer pour éviter cette insupportable razzia ? Nada. Pratiquement rien.
Il faut dire que le champion olympique espagnol a rendu une copie impressionnante en s'accrochant durant les quatre premiers sets avant de porter, tel un matador, le coup de grâce lors d'une dernière manche totalement maîtrisée.
La défaite encaissée, la douleur du Suisse était grande. Très grande. Hier Federer pouvait encore se contenter de battre Nadal sur surface synthétique, mais aujourd'hui le torero brille partout. Au fil des mois, l'Espagnol ne laisse plus la moindre miette au Suisse...
Au point que Federer, dépité au moment du discours, semblait se dire que rejoindre, et dépasser, le palmarès de Sampras dans la légende serait désormais pratiquement impossible...
Des larmes d'un vaincu au bord du renoncement moral. Comme si cette troisième défaite consécutive en finale (Roland-Garros et Wimbledon auparavant) face à « Rafa » constituait une passation des pouvoirs...
Mais où s'arrêtera donc la suprématie de Nadal ?Le n° 1 mondial a confirmé ce week-end qu'il était bien le patron, toutes surfaces confondues. Et Roger Federer, battu une fois de plus par sa bête noire, devra attendre au moins jusqu'au printemps et le rendez-vous de Roland-Garros pour espérer égaler les 14 victoires en grand...