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730 voitures brûlées et 592 interpellations à travers la France

Sept cent trente voitures ont été brûlées en France métropolitaine au cours de la nuit du second tour de l’élection présidentielle, et 592 personnes ont été interpellées, selon un bilan définitif obtenu hier auprès de la Direction générale de la police nationale (DGPN). Selon la même source, ce bilan précise que sur 730 voitures brûlées, 35 l’ont été à Paris, et que parmi les 592 interpellations, 79 sont également intervenues dans la capitale. Par ailleurs, 78 policiers et gendarmes ont été blessés au cours des incidents qui ont émaillé le second tour de la présidentielle. La police estime que les violences ont été provoquées par deux milieux distincts, des jeunes des banlieues pauvres, notamment autour de Paris, et des militants d’extrême gauche, anarchistes ou « autonomes » dans les centres des grandes villes. Les seconds ont par exemple affronté les forces de l’ordre durant plusieurs heures place de la Bastille à Paris, lieu traditionnel de rassemblement de la gauche lors des soirées électorales. Les manifestants, qui jetaient feux d’artifice et bouteilles, n’ont pu être dispersés que par un véhicule antiémeute blindé équipé de canons à eau, a constaté un journaliste de Reuters sur place.
Sept cent trente voitures ont été brûlées en France métropolitaine au cours de la nuit du second tour de l’élection présidentielle, et 592 personnes ont été interpellées, selon un bilan définitif obtenu hier auprès de la Direction générale de la police nationale (DGPN). Selon la même source, ce bilan précise que sur 730 voitures brûlées, 35 l’ont été à Paris,...