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Nancy Huston et Sorj Chalandon sont tous deux passés par Beyrouth

Canadienne anglophone, Parisienne d’adoption, Nancy Huston, dont l’œuvre est centrée autour de deux thèmes récurrents, la musique et l’exil, s’est forgé en France un public fidèle. De ses premiers romans Les variations Goldberg (1981) à Une adoration en 2003, en passant par le Cantique des plaines (1993), La Virevolte (1994) ou encore L’empreinte de l’ange, qu’elle était d’ailleurs venue présenter au Salon du livre de Beyrouth en 1998. Établie depuis plus de 20 ans à Paris, avec ses deux filles et son compagnon, elle écrit indifféremment en anglais et en français et compte parmi les rares auteurs à s’être imposés dans une langue autre que sa langue maternelle. Lignes de faille, son onzième roman, polyphonique, a ainsi été écrit en anglais, puis traduit par l’auteur elle-même. Journaliste à Libération depuis 1975, Sorj Chalandon a couvert des événements comme la guerre du Liban, le Tchad, le drame de Bhopal, la Somalie, l’Afghanistan, la guerre Iran-Irak ou celle du Golfe. Ses reportages sur l’Irlande du Nord et le procès de Klaus Barbie lui ont valu le prix Albert Londres en 1988. Une promesse est, après Le petit Bonzi (Grasset), son deuxième roman.
Canadienne anglophone, Parisienne d’adoption, Nancy Huston, dont l’œuvre est centrée autour de deux thèmes récurrents, la musique et l’exil, s’est forgé en France un public fidèle. De ses premiers romans Les variations Goldberg (1981) à Une adoration en 2003, en passant par le Cantique des plaines (1993), La Virevolte (1994) ou encore L’empreinte de l’ange, qu’elle...