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Actualités - CHRONOLOGIE

Divers

Le syndicat des hôpitaux appelle les fournisseurs « à ne pas profiter de la situation » Le syndicat des hôpitaux a appelé hier, dans un communiqué, les importateurs de médicaments et des équipements médicaux, ainsi que les fournisseurs des produits alimentaires à assurer les produits « sans des frais supplémentaires » et « sans poser des conditions financières » auxquelles les hôpitaux ne peuvent pas se conformer, comme « à ne pas profiter de la situation ». Déplorant les difficultés que rencontre le secteur en cette période difficile, le syndicat des hôpitaux appelle les tiers payants à établir « dans les plus brefs délais un plan d’urgence » qui aura pour but d’assurer le mécanisme nécessaire permettant de faire face à cette « situation exceptionnelle », et cela en assurant aux hôpitaux des liquidités. Le syndicat souligne également l’importance d’évacuer les blessés déjà soignés des hôpitaux afin de permettre aux corps médical et infirmier de s’occuper d’un plus grand nombre de blessés. Enfin, le syndicat des hôpitaux appelle les organismes internationaux à assurer un couloir sécurisé aux hôpitaux qui se trouvent dans les zones militaires afin de pouvoir leur livrer les médicaments, les équipements médicaux, les carburants et les produits alimentaires dont ils ont besoin. Mise en place de cliniques mobiles par l’association Amel L’association Amel, en collaboration avec les ministères de la Santé publique et des Affaires sociales, et avec les membres de la société civile, a mis en place hier des mesures d’urgence pour pallier aux besoins des réfugiés. Les équipes médicales de l’association se répartissent sur deux cliniques mobiles qui se rendront auprès des personnes déplacées ayant trouvé refuge respectivement dans l’école publique Fakhreddine, dans la région de Bourj Abou Haïdar et dans l’école St-Severius et l’École baptiste, dans la région de Mousseitbé. Quelque 219 malades ont déjà été diagnostiqués dans ces trois écoles, et les remèdes appropriés leur ont été distribués. Mais un inventaire a montré que les réfugiés de ces régions avaient encore besoin de produits antiseptiques, lait pour nourrissons, matelas, draps, oreillers, couvertures, langes pour nourisson... Sans oublier l’eau potable qui leur fait toujours cruellement défaut. L’Université américaine de Beyrouth délocalise ses employés Le président de l’Université américaine de Beyrouth (AUB), Peter Heath, a inspecté hier les locaux de l’université et a tenu à féliciter les employés qui poursuivent leur travail malgré les circonstances difficiles. Il leur a aussi fait parvenir un message du président John Waterbury et du Board of Trustees de l’université. L’université ainsi que l’hôpital américain ont en outre décidé de délocaliser une partie de leurs employés afin qu’ils puissent poursuivre leur travail dans les meilleures conditions possibles. Un comité spécial a été créé à cet effet, et les membres de plusieurs unités du centre médical ont déjà été délocalisés. Par ailleurs, un grand nombre de médecins, médecins étudiants, infirmières et professionnels de la santé se sont portés volontaires, de manière individuelle ou en collaboration avec des organisations non gouvernementales, pour aider les personnes affectées par les évènements. Les cartes téléphoniques sont disponibles en quantité suffisante Le ministère des Télécommunications et Ogero ont annoncé hier que les cartes téléphoniques prépayées de la série Kalam, qu’elles soient d’une valeur de 15 000 LL ou de 45 000 LL, tout comme les télécartes des cabines téléphoniques sont disponibles en quantité suffisante aux points de ventes habituels, mis à part ceux qui ont été bombardés ou ceux qui sont inaccessibles au Sud et dans la Békaa. Les cartes sont vendues au prix normal fixé par le ministère. Cas spécial Une femme âgée de 42 ans, sans aucune ressource, vit chez son frère. Actuellement, elle a besoin d’une greffe de la moelle osseuse. Cette intervention est très coûteuse. Le coût s’élève à 55 000 000 LL. Malgré l’aide du ministère de la Santé, elle n’arrive pas à couvrir les frais. Nous vous remercions à l’avance pour votre générosité et votre contribution. Pour plus d’informations, appeler au 01/335844 et l’après-midi au 01/335750, n° du compte à la Fransabank, Tabaris 2 010 030 264 803.
Le syndicat des hôpitaux appelle
les fournisseurs « à ne pas profiter
de la situation »
Le syndicat des hôpitaux a appelé hier, dans un communiqué, les importateurs de médicaments et des équipements médicaux, ainsi que les fournisseurs des produits alimentaires à assurer les produits « sans des frais supplémentaires » et « sans poser des conditions financières » auxquelles...