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Son bureau de presse publie une mise au point en début de soirée Kabalan se déchaîne contre Mehlis

Le vice-président du Conseil supérieur chiite, cheikh Abdel Amir Kabalan, s’est déchaîné au cours de son prêche du vendredi contre le président de la commission d’enquête internationale Detlev Mehlis, le qualifiant d’« ami du sionisme, entouré de douze officiers israéliens qui l’aident dans son travail et téléguidé par ceux qui l’ont placé à ce poste ». Sauf que son bureau de presse a publié quelques heures plus tard un communiqué-mise au point qui dit ce qui suit : « Certains médias ont évoqué des propos attribués au vice-président du Conseil supérieur chiite, au sujet de la mission du juge Mehlis. Il importe au cheikh Kabalan de préciser que ses propos reprenaient ce que les gens se disent entre eux, et qu’ils ne représentent pas son opinion personnelle, d’autant qu’il ne connaît pas le juge Mehlis. Il ne peut donc le juger. Cheikh Kabalan réaffirme en outre son attachement à connaître la vérité à propos de l’assassinat du président martyr Rafic Hariri. » Et toujours au cours du même prêche, cheikh Kabalan a assuré qu’« Israël est le seul ennemi du chrétien, du sunnite, du druze et du chiite. Ces derniers appartiennent tous à la même famille et nous les appelons à manger à la même table. Nous invitons également le gouvernement à accélérer le règlement du dossier des nominations ; nous vivons dans la peur et l’anxiété, qu’est-ce qui nous empêche d’ouvrir grandes nos portes et de dormir en paix, comme nous le faisions sous le mandat du président Sleimane Frangié ? Pourquoi multiplions-nous aujourd’hui barrages et portes blindées ? Nous demandons à l’État de nommer des chefs au sein des FSI afin que chacun d’eux prenne en main sa mission et œuvre dans le cadre de ses responsabilités et de ses prérogatives », a-t-il soutenu.
Le vice-président du Conseil supérieur chiite, cheikh Abdel Amir Kabalan, s’est déchaîné au cours de son prêche du vendredi contre le président de la commission d’enquête internationale Detlev Mehlis, le qualifiant d’« ami du sionisme, entouré de douze officiers israéliens qui l’aident dans son travail et téléguidé par ceux qui l’ont placé à ce poste ». Sauf...