« Les politiques hégémoniques n’ont produit que des défaites et des catastrophes. Seule la liberté donne aux peuples la capacité de lutter et de vaincre. Non à la grande prison arabe, oui à la liberté, oui au Liban libre, arabe, démocratique et indépendant. » C’est par ces mots que Élias Atallah, ancien compagnon de Kamal Joumblatt, a conclu hier son mot d’ouverture, dans le cadre du congrès fondateur de la Gauche démocratique, dernier-né de l’opposition, en présence d’un très large panel d’opposants de diverses communautés et tendances politiques. La densité des positions exprimées lors du congrès du nouveau mouvement a tranché avec le vide politique qui a prévalu ce week-end concernant le dossier gouvernemental. On attend, dans ce cadre, un cinquième tête-à-tête entre les présidents Lahoud et Hariri.
« Les politiques hégémoniques n’ont produit que des défaites et des catastrophes. Seule la liberté donne aux peuples la capacité de lutter et de vaincre. Non à la grande prison arabe, oui à la liberté, oui au Liban libre, arabe, démocratique et indépendant. » C’est par ces mots que Élias Atallah, ancien compagnon de Kamal Joumblatt, a conclu hier son mot d’ouverture,...
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