Alors que les vidéos se multipliaient, on se prenait à rêver que l’otage britannique allait bientôt être libéré. Hier, l’espoir a été brutalement mis en pièces quand l’exécution de Kenneth Bigley a été annoncée. Alors qu’un des deux frères de l’otage soulignait que Londres avait fait ce qu’il pouvait pour obtenir la libération de l’ingénieur, l’autre...
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20 à 30 villes irakiennes rebelles dans le collimateur des stratèges US L’otage britannique décapité, Blair en mauvaise posture
le 09 octobre 2004 à 00h00
Alors que les vidéos se multipliaient, on se prenait à rêver que l’otage britannique allait bientôt être libéré. Hier, l’espoir a été brutalement mis en pièces quand l’exécution de Kenneth Bigley a été annoncée. Alors qu’un des deux frères de l’otage soulignait que Londres avait fait ce qu’il pouvait pour obtenir la libération de l’ingénieur, l’autre accusait le Premier ministre britannique d’avoir « du sang sur les mains ». Tony Blair qui risque d’avoir à payer, politiquement parlant, le prix de la décapitation de Kenneth Bigley.
Sur le terrain, l’armée américaine a une nouvelle fois attaqué hier un repaire présumé de Zarqaoui à Falloujah. Parallèlement, le New York Times rapportait que les stratèges américains avaient identifié 20 à 30 villes « à pacifier » en Irak avant les élections prévues en janvier prochain.
Alors que les vidéos se multipliaient, on se prenait à rêver que l’otage britannique allait bientôt être libéré. Hier, l’espoir a été brutalement mis en pièces quand l’exécution de Kenneth Bigley a été annoncée. Alors qu’un des deux frères de l’otage soulignait que Londres avait fait ce qu’il pouvait pour obtenir la libération de l’ingénieur, l’autre...
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