Dans un...
Actualités - CHRONOLOGIE
Vie politique Sfeir est le plus grand des patriarches maronites, estime Samir Frangié (photo)
le 03 août 2004 à 00h00
M. Samir Frangié, membre du Rassemblement de Kornet Chehwane, a estimé hier que ce dernier n’avait peut-être pas pu, jusqu’à présent, récolter les fruits de son action, mais qu’il avait quand même réussi à faire des chrétiens un interlocuteur principal pour l’avenir. Et ce grâce, principalement, au parrainage du patriarche maronite, Mgr Nasrallah Sfeir.
Dans un entretien accordé à Radio-Liban Libre, M. Frangié a indiqué : « Ce que nous avons fait sur le plan interchrétien au niveau du Rassemblement, il faudrait que chaque communauté le fasse. »
Selon lui, Kornet Chehwane a empêché le Liban d’aller vers l’inconnu, à l’heure où le pays traverse des circonstances historiques sur le plan régional. « Peut-être que nous n’avons rien réalisé. Mais, au moins, la situation n’a pas régressé. Il y a toujours un discours qui nous unit et qui nous sert de point de repère », a poursuivi Samir Frangié, mettant en relief le rôle de l’Église dans ce cadre.
« Le patriarche maronite est le plus important des patriarches de l’histoire de la communauté. Je le dis sans hésitation. Dieu a protégé les chrétiens du Liban par le biais de ce patriarche, et j’ignore ce qu’il serait advenu de nous sans lui », a-t-il ajouté, déplorant l’état de division qui prévaut dans les rangs chrétiens.
M. Samir Frangié, membre du Rassemblement de Kornet Chehwane, a estimé hier que ce dernier n’avait peut-être pas pu, jusqu’à présent, récolter les fruits de son action, mais qu’il avait quand même réussi à faire des chrétiens un interlocuteur principal pour l’avenir. Et ce grâce, principalement, au parrainage du patriarche maronite, Mgr Nasrallah Sfeir.
Dans un...
Dans un...
Les plus commentés
Après Bou Saab, Alain Aoun : la démarche de limogeage mise sur les rails
Don européen : suite à la levée de boucliers, Berry et Mikati s’activent
Oussama Hamdane : Nous avons accepté l’accord de trêve sans renoncer à nos constantes