Le texte final de sept pages devrait recueillir une majorité de « oui » parmi les 15 membres du Conseil de sécurité, après l’accord intervenu hier entre les cinq permanents – États-Unis, Grande-Bretagne, France, Russie et Chine. Il pourrait en revanche ne pas obtenir l’unanimité que le chef de la diplomatie américaine, Colin Powell, appelle de ses vœux. Le vote pourrait intervenir dès aujourd’hui. La Syrie, unique pays arabe au Conseil, a rappelé son ambassadeur Mikhaïl Wehbé pour consultation.
Par ailleurs, les États-Unis ont confirmé discuter avec l’Agence internationale de l’énergie atomique de l’envoi d’une mission conjointe d’inspecteurs sur le site d’al-Tuwaitha, au sud de Bagdad, où des matériaux nucléaires auraient disparu à la suite des pillages.
Les plus commentés
Retour des Syriens : Assad s'impose dans le débat
Nasrallah : Israël n’a réalisé aucun de ses objectifs dans cette guerre
Crise migratoire : un faux dilemme pour le Liban