Au cœur du scandale, les accusations portées par un ancien diplomate, Joseph Wilson, contre la Maison-Blanche qui aurait, selon lui, livré à la presse le nom de sa femme, un agent de la CIA, afin de se venger de lui. M. Wilson avait en effet publiquement contesté les affirmations américaines sur le programme d’armement irakien.
Lundi, la Maison-Blanche a démenti ces accusations avant d’annoncer hier l’ouverture d’une enquête criminelle qui sera conduite par le ministère de la Justice.
Une enquête dont les critères d’indépendance sont donc loin d’être assurés. Ce que n’ont pas manqué de relever les démocrates qui réclament la nomination d’un procureur spécial.
Les plus commentés
Retour des Syriens : Assad s'impose dans le débat
Nasrallah : Israël n’a réalisé aucun de ses objectifs dans cette guerre
Crise migratoire : un faux dilemme pour le Liban