Autant dire qu’il s’agissait d’un véritable séminaire, essentiellement consacré au secteur de l’électricité.
Le Conseil a d’abord réussi à contourner l’obstacle procédural qui avait empêché la Banque du Liban d’accorder un prêt de 300 milliards de LL à l’EDL pour l’importation de carburant. De fait, le gouvernement a finalement décidé de demander lui-même à la BDL l’octroi de ces crédits au ministère des Finances, lequel se chargera de les transférer immédiatement à l’office.
Le Conseil des ministres s’est fixé un deuxième objectif à long terme, c’est-à-dire d’ici à 2006 : remplacer le fuel par le gaz naturel pour la production d’électricité. Entre-temps, l’État tentera d’obtenir du Koweït des prix plus compétitifs pour l’achat de fuel.
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