L’ancien chef du gouvernement de transition, le général Michel Aoun, a estimé hier que « depuis que le Syria Accountability and Lebanese Sovereignty Restoration Act a été introduit devant le Congrès US, le peuple libanais est la cible d’une campagne de terrorisme intellectuel pour l’empêcher d’appuyer la proposition de loi, que l’on présente comme hostile ».
« Pour atteindre ce but, la Syrie a utilisé tous les moyens dont elle dispose, au niveau des médias, de la politique, des services de renseignements ou de la menace. Ainsi a-t-elle imposé un discours aux hommes politiques et à la presse et a pris pour cible les chrétiens en particulier, en les menaçant d’avoir choisi la voie de la souveraineté. Dans l’optique de Damas, la seule délivrance est dans la soumission à ses desiderata et dans la “dhimmitude” imposée aux hommes politiques », a estimé Michel Aoun.
« La proposition de loi a fait couler beaucoup d’encre, le but ultime étant de saper le moral des Libanais et de mettre l’accent sur le fait que “seule la Syrie est habilitée à coordonner avec les États-Unis alors que le Liban n’est d’aucune valeur dans les priorités américaines” et que la Syrie peut donc garantir ses intérêts tout en le maintenant sous sa tutelle, comme monnaie d’échange », a-t-il poursuivi.
Tirant à boulets rouges sur la classe politique libanaise, qui a sombré dans la décadence et « qui a propagé le mensonge selon lequel les États-Unis mentent aux Libanais et manœuvrent perpétuellement », Michel Aoun a indiqué : « Il est temps de dire la vérité. Les Américains n’ont jamais menti aux Libanais en matière de politique. Ils ont offert le Liban à la Syrie. S’ils nous avaient dit le contraire, en affirmant que l’accord de Taëf représentait la possibilité pour le Liban de retrouver sa souveraineté et son indépendance, il n’y aurait pas eu le clash du 13 octobre 1990 (date de son éviction du palais de Baabda) entre nous et eux. »
Et le général Aoun de conclure : « L’on tente actuellement de détruire la confiance des Libanais en l’option américaine, qui consiste à rendre au Liban sa souveraineté, et de semer la haine antiaméricaine. Mais la politique US est claire, elle dissipe les mensonges propagés par les mercenaires qui sont prisonniers de l’interminable politique de la servitude. »
« Pour atteindre ce but, la Syrie a utilisé tous les moyens dont elle dispose, au niveau des médias, de la politique, des services de renseignements ou de la menace. Ainsi a-t-elle imposé un discours aux hommes politiques et à la presse et a pris pour cible les chrétiens en particulier, en les menaçant d’avoir choisi la voie de la souveraineté. Dans l’optique de Damas, la seule délivrance est dans la soumission à ses desiderata et dans la “dhimmitude” imposée aux hommes politiques », a estimé Michel Aoun.
« La proposition de loi a fait couler beaucoup d’encre, le but ultime étant de saper le moral des Libanais et de mettre l’accent sur le fait que “seule la Syrie est habilitée à coordonner avec les États-Unis alors que le Liban n’est d’aucune valeur dans les priorités américaines” et que la Syrie peut donc garantir ses intérêts tout en le maintenant sous sa tutelle, comme monnaie d’échange », a-t-il poursuivi.
Tirant à boulets rouges sur la classe politique libanaise, qui a sombré dans la décadence et « qui a propagé le mensonge selon lequel les États-Unis mentent aux Libanais et manœuvrent perpétuellement », Michel Aoun a indiqué : « Il est temps de dire la vérité. Les Américains n’ont jamais menti aux Libanais en matière de politique. Ils ont offert le Liban à la Syrie. S’ils nous avaient dit le contraire, en affirmant que l’accord de Taëf représentait la possibilité pour le Liban de retrouver sa souveraineté et son indépendance, il n’y aurait pas eu le clash du 13 octobre 1990 (date de son éviction du palais de Baabda) entre nous et eux. »
Et le général Aoun de conclure : « L’on tente actuellement de détruire la confiance des Libanais en l’option américaine, qui consiste à rendre au Liban sa souveraineté, et de semer la haine antiaméricaine. Mais la politique US est claire, elle dissipe les mensonges propagés par les mercenaires qui sont prisonniers de l’interminable politique de la servitude. »
L’ancien chef du gouvernement de transition, le général Michel Aoun, a estimé hier que « depuis que le Syria Accountability and Lebanese Sovereignty Restoration Act a été introduit devant le Congrès US, le peuple libanais est la cible d’une campagne de terrorisme intellectuel pour l’empêcher d’appuyer la proposition de loi, que l’on présente comme hostile ».« Pour...
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